Dans l'ombre du Reich. Enquêtes sur le traumatisme allemand (1938-2001)
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Nombre de pages521
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.6 kg
- Dimensions14,2 cm × 22,6 cm × 3,7 cm
- ISBN978-2-37067-016-8
- EAN9782370670168
- Date de parution14/01/2016
- ÉditeurPlein Jour
- TraducteurJohan-Frédérik Hel-Guedj
Résumé
Comment une nation se relève-t-elle de ses propres crimes ? Rassemblant soixante ans d'enquêtes journalistiques et d'expériences personnelles, Gitta Sereny raconte les décennies qui ont suivi la chute du Troisième Reich dans une somme d'une ampleur unique sur l'Allemagne hantée par ses monstres. Du congrès de Nuremberg auquel elle assista enfant, par hasard, au procès Demjanjuk à la fin du siècle, en passant par la découverte, adolescente, à Vienne, des premières persécutions antisémites, par son travail auprès des "enfants volés" du Lebensborn ou ses reportages sur les jeunes Allemands affrontant les fautes de leurs parents, elle traque la vérité en journaliste et en écrivain.
Ses rencontres avec des personnalités comme Franz Stangl, Albert Speer, Leni Riefenstahl ou Kurt Waldheim sont autant de plongées dans les faux-semblants d'une génération qui commit ou accepta le pire. Ses récits d'affaires comme celle des prétendus carnets de Hitler, dont elle révèle ici, pour la première fois, la nature réelle, autant de combats avec les ambiguïtés de la mémoire. L'histoire est prise à bout portant, en train de se faire.
On y assiste comme en direct, dans l'intensité et l'intimité d'une réflexion qui fut celle d'une vie entière, sur l'inhumanité des hommes et l'espoir indestructible de la rédemption.
Ses rencontres avec des personnalités comme Franz Stangl, Albert Speer, Leni Riefenstahl ou Kurt Waldheim sont autant de plongées dans les faux-semblants d'une génération qui commit ou accepta le pire. Ses récits d'affaires comme celle des prétendus carnets de Hitler, dont elle révèle ici, pour la première fois, la nature réelle, autant de combats avec les ambiguïtés de la mémoire. L'histoire est prise à bout portant, en train de se faire.
On y assiste comme en direct, dans l'intensité et l'intimité d'une réflexion qui fut celle d'une vie entière, sur l'inhumanité des hommes et l'espoir indestructible de la rédemption.
Comment une nation se relève-t-elle de ses propres crimes ? Rassemblant soixante ans d'enquêtes journalistiques et d'expériences personnelles, Gitta Sereny raconte les décennies qui ont suivi la chute du Troisième Reich dans une somme d'une ampleur unique sur l'Allemagne hantée par ses monstres. Du congrès de Nuremberg auquel elle assista enfant, par hasard, au procès Demjanjuk à la fin du siècle, en passant par la découverte, adolescente, à Vienne, des premières persécutions antisémites, par son travail auprès des "enfants volés" du Lebensborn ou ses reportages sur les jeunes Allemands affrontant les fautes de leurs parents, elle traque la vérité en journaliste et en écrivain.
Ses rencontres avec des personnalités comme Franz Stangl, Albert Speer, Leni Riefenstahl ou Kurt Waldheim sont autant de plongées dans les faux-semblants d'une génération qui commit ou accepta le pire. Ses récits d'affaires comme celle des prétendus carnets de Hitler, dont elle révèle ici, pour la première fois, la nature réelle, autant de combats avec les ambiguïtés de la mémoire. L'histoire est prise à bout portant, en train de se faire.
On y assiste comme en direct, dans l'intensité et l'intimité d'une réflexion qui fut celle d'une vie entière, sur l'inhumanité des hommes et l'espoir indestructible de la rédemption.
Ses rencontres avec des personnalités comme Franz Stangl, Albert Speer, Leni Riefenstahl ou Kurt Waldheim sont autant de plongées dans les faux-semblants d'une génération qui commit ou accepta le pire. Ses récits d'affaires comme celle des prétendus carnets de Hitler, dont elle révèle ici, pour la première fois, la nature réelle, autant de combats avec les ambiguïtés de la mémoire. L'histoire est prise à bout portant, en train de se faire.
On y assiste comme en direct, dans l'intensité et l'intimité d'une réflexion qui fut celle d'une vie entière, sur l'inhumanité des hommes et l'espoir indestructible de la rédemption.