Dames de coeur et femmes de tête. La femme dans le théâtre de William Shakespeare

Par : Maurice Abiteboul
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages255
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.44 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-296-05697-8
  • EAN9782296056978
  • Date de parution28/05/2008
  • CollectionUnivers théâtral
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Le propos de ce livre est d'offrir au lecteur une vue d'ensemble des divers aspects de la femme tels qu'ils apparaissent dans une oeuvre spécifique, de présenter l'image d'Eve éternelle considérée à travers le prisme du théâtre de Shakespeare. L'auteur s'attache ainsi à esquisser, dans leurs grandes lignes, les différents visages de la femme que le grand dramaturge donne à voir dans son théâtre. La femme dans tous ses états, pucelle en proie aux premiers émois, timide et innocente amoureuse, amante sensuelle, maîtresse voluptueuse, épouse loyale, fidèlement résignée quelquefois, femme adultère - parfois présumée incestueuse -, femme violée, femme répudiée, femme torturée, mère émouvante, protectrice, ou mère dénaturée, veuve éplorée ou veuve joyeuse, grand-mère attendrie ou grand-mère impitoyable : telle apparait, dans sa grande diversité, la femme dans le théâtre de Shakespeare.
Toute la société élisabéthaine se trouve représentée dans ce théâtre du monde : reines et princesses, duchesses et comtesses, gentes dames et fières bourgeoises aussi bien que bergères, paysannes et femmes du peuple. On y trouve aussi des femmes savantes et des courtisanes, des mégères et des épouses soumises. La nature humaine - et féminine notamment - est illustrée ici par toutes sortes de caractères : il y a les jalouses et les ambitieuses, les rancunières et les voluptueuses, les avides et les orgueilleuses - autant de types que les Moralités médiévales avaient classés dans les catégories de la chair, du monde et du démon.
Il revenait naturellement à Shakespeare - et à ses contemporains - de leur donner la vie nécessaire à toute transfiguration théâtrale. Cette étude, en vérité, consiste essentiellement à aborder son sujet sous l'angle de la diversité, s'appuyant moins volontiers sur une analyse détaillée de chacune des oeuvres que sur des illustrations appropriées destinées à tirer leur force de persuasion de la richesse et de la variété des exemples choisis.
Le propos de ce livre est d'offrir au lecteur une vue d'ensemble des divers aspects de la femme tels qu'ils apparaissent dans une oeuvre spécifique, de présenter l'image d'Eve éternelle considérée à travers le prisme du théâtre de Shakespeare. L'auteur s'attache ainsi à esquisser, dans leurs grandes lignes, les différents visages de la femme que le grand dramaturge donne à voir dans son théâtre. La femme dans tous ses états, pucelle en proie aux premiers émois, timide et innocente amoureuse, amante sensuelle, maîtresse voluptueuse, épouse loyale, fidèlement résignée quelquefois, femme adultère - parfois présumée incestueuse -, femme violée, femme répudiée, femme torturée, mère émouvante, protectrice, ou mère dénaturée, veuve éplorée ou veuve joyeuse, grand-mère attendrie ou grand-mère impitoyable : telle apparait, dans sa grande diversité, la femme dans le théâtre de Shakespeare.
Toute la société élisabéthaine se trouve représentée dans ce théâtre du monde : reines et princesses, duchesses et comtesses, gentes dames et fières bourgeoises aussi bien que bergères, paysannes et femmes du peuple. On y trouve aussi des femmes savantes et des courtisanes, des mégères et des épouses soumises. La nature humaine - et féminine notamment - est illustrée ici par toutes sortes de caractères : il y a les jalouses et les ambitieuses, les rancunières et les voluptueuses, les avides et les orgueilleuses - autant de types que les Moralités médiévales avaient classés dans les catégories de la chair, du monde et du démon.
Il revenait naturellement à Shakespeare - et à ses contemporains - de leur donner la vie nécessaire à toute transfiguration théâtrale. Cette étude, en vérité, consiste essentiellement à aborder son sujet sous l'angle de la diversité, s'appuyant moins volontiers sur une analyse détaillée de chacune des oeuvres que sur des illustrations appropriées destinées à tirer leur force de persuasion de la richesse et de la variété des exemples choisis.