D'une cité et autres affaires. Chronique fidèle
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- Nombre de pages161
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.215 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,5 cm
- ISBN2-7384-3039-2
- EAN9782738430397
- Date de parution01/10/1995
- CollectionL'Autre Amérique
- ÉditeurL'Harmattan
- TraducteurJean-Jacques Fleury
- PréfacierJaime Diaz Rozotto
Résumé
Traduit du guatémaltèque par Jean-Jacques Fleury Des pamphlets stigmatisant la conduite et les moeurs du clergé, puis des dames de la bonne société, mettent en émoi la cité. Tous sont cloués au pilori, depuis le rabelaisien Capitaine Général jusqu'au petit curé de telle ou telle église, en passant par la femme de l'apothicaire qui trompe allégrement son époux ; même la Sainte, cette religieuse d'une merveilleuse beauté, tourmentée sans cesse par le Malin, n'est pas épargnée.
Ces pasquins, que l'on fait circuler et que l'on commente plus ou moins sous cape, ne sont que le révélateur de l'hypocrisie de cette société coloniale centraméricaine que Manuel José Arce nous décrit magistralement en un récit kaléidoscopique, à travers des fragments de conversations. Description mais aussi critique d'un monde corseté, prisonnier de ses tabous et assiégé, encerclé par ceux-là mêmes sur qui repose toute son existence : les indigènes spoliés, niés et reniés.
Un homme a osé se poser en défenseur de ces parias, on en a fait un bandit et on l'a éliminé ; son fils - sculpteur de Christs comme lui -, métis de surcroît, va briser toutes les barrières et, en accédant au mythe, annoncer toutes les révoltes futures. Roman historique, certes, mais roman ancré dans les réalités actuelles de l'Amérique centrale, cette oeuvre posthume de l'écrivain guatémaltèque Manuel José Arce brosse le fascinant portrait d'un monde neuf, agité de mille soubresauts, qui se cherche entre un catholicisme vraiment à l'écoute de l'Homme et les vieux mythes ancestraux porteurs d'avenir.
Ces pasquins, que l'on fait circuler et que l'on commente plus ou moins sous cape, ne sont que le révélateur de l'hypocrisie de cette société coloniale centraméricaine que Manuel José Arce nous décrit magistralement en un récit kaléidoscopique, à travers des fragments de conversations. Description mais aussi critique d'un monde corseté, prisonnier de ses tabous et assiégé, encerclé par ceux-là mêmes sur qui repose toute son existence : les indigènes spoliés, niés et reniés.
Un homme a osé se poser en défenseur de ces parias, on en a fait un bandit et on l'a éliminé ; son fils - sculpteur de Christs comme lui -, métis de surcroît, va briser toutes les barrières et, en accédant au mythe, annoncer toutes les révoltes futures. Roman historique, certes, mais roman ancré dans les réalités actuelles de l'Amérique centrale, cette oeuvre posthume de l'écrivain guatémaltèque Manuel José Arce brosse le fascinant portrait d'un monde neuf, agité de mille soubresauts, qui se cherche entre un catholicisme vraiment à l'écoute de l'Homme et les vieux mythes ancestraux porteurs d'avenir.
Traduit du guatémaltèque par Jean-Jacques Fleury Des pamphlets stigmatisant la conduite et les moeurs du clergé, puis des dames de la bonne société, mettent en émoi la cité. Tous sont cloués au pilori, depuis le rabelaisien Capitaine Général jusqu'au petit curé de telle ou telle église, en passant par la femme de l'apothicaire qui trompe allégrement son époux ; même la Sainte, cette religieuse d'une merveilleuse beauté, tourmentée sans cesse par le Malin, n'est pas épargnée.
Ces pasquins, que l'on fait circuler et que l'on commente plus ou moins sous cape, ne sont que le révélateur de l'hypocrisie de cette société coloniale centraméricaine que Manuel José Arce nous décrit magistralement en un récit kaléidoscopique, à travers des fragments de conversations. Description mais aussi critique d'un monde corseté, prisonnier de ses tabous et assiégé, encerclé par ceux-là mêmes sur qui repose toute son existence : les indigènes spoliés, niés et reniés.
Un homme a osé se poser en défenseur de ces parias, on en a fait un bandit et on l'a éliminé ; son fils - sculpteur de Christs comme lui -, métis de surcroît, va briser toutes les barrières et, en accédant au mythe, annoncer toutes les révoltes futures. Roman historique, certes, mais roman ancré dans les réalités actuelles de l'Amérique centrale, cette oeuvre posthume de l'écrivain guatémaltèque Manuel José Arce brosse le fascinant portrait d'un monde neuf, agité de mille soubresauts, qui se cherche entre un catholicisme vraiment à l'écoute de l'Homme et les vieux mythes ancestraux porteurs d'avenir.
Ces pasquins, que l'on fait circuler et que l'on commente plus ou moins sous cape, ne sont que le révélateur de l'hypocrisie de cette société coloniale centraméricaine que Manuel José Arce nous décrit magistralement en un récit kaléidoscopique, à travers des fragments de conversations. Description mais aussi critique d'un monde corseté, prisonnier de ses tabous et assiégé, encerclé par ceux-là mêmes sur qui repose toute son existence : les indigènes spoliés, niés et reniés.
Un homme a osé se poser en défenseur de ces parias, on en a fait un bandit et on l'a éliminé ; son fils - sculpteur de Christs comme lui -, métis de surcroît, va briser toutes les barrières et, en accédant au mythe, annoncer toutes les révoltes futures. Roman historique, certes, mais roman ancré dans les réalités actuelles de l'Amérique centrale, cette oeuvre posthume de l'écrivain guatémaltèque Manuel José Arce brosse le fascinant portrait d'un monde neuf, agité de mille soubresauts, qui se cherche entre un catholicisme vraiment à l'écoute de l'Homme et les vieux mythes ancestraux porteurs d'avenir.