Le XXe siècle aura probablement été le siècle le plus meurtrier que nous ayons connu. L'histoire en qui nous espérions nous a trahis, la religion en qui nous croyions nous a trompés. Des inconscients cherchent encore à défendre l'homme en trouvant l'explication de cette boucherie du côté de Dieu. Il est grand temps de revenir de ces idéologies et de démasquer le mal inhérent à nos actes et à nos discours.
Notre thèse stipule, en effet, que depuis l'interdiction formelle de ne pas sacrifier des êtres humains à Dieu, depuis Isaac délivré, le monde a fait un pas en arrière lorsque le christianisme naissant a fondé sa théologie sur ce crime qu'est la mise à mort de Jésus en en faisant son thème central. Après des siècles d'interdiction et parce qu'Israël n'était pas du tout guéri de cette maladie qu'est le sacrifice humain - la Bible et ses prophètes l'attestent -, le sacrifice de Jésus, la glorification de sa mort, son utilité exceptionnelle vue comme la somme de la miséricorde divine, tout cela a remis en cause l'interdiction ancienne.
La mort, soudain, est devenue une affaire payante.
Le XXe siècle aura probablement été le siècle le plus meurtrier que nous ayons connu. L'histoire en qui nous espérions nous a trahis, la religion en qui nous croyions nous a trompés. Des inconscients cherchent encore à défendre l'homme en trouvant l'explication de cette boucherie du côté de Dieu. Il est grand temps de revenir de ces idéologies et de démasquer le mal inhérent à nos actes et à nos discours.
Notre thèse stipule, en effet, que depuis l'interdiction formelle de ne pas sacrifier des êtres humains à Dieu, depuis Isaac délivré, le monde a fait un pas en arrière lorsque le christianisme naissant a fondé sa théologie sur ce crime qu'est la mise à mort de Jésus en en faisant son thème central. Après des siècles d'interdiction et parce qu'Israël n'était pas du tout guéri de cette maladie qu'est le sacrifice humain - la Bible et ses prophètes l'attestent -, le sacrifice de Jésus, la glorification de sa mort, son utilité exceptionnelle vue comme la somme de la miséricorde divine, tout cela a remis en cause l'interdiction ancienne.
La mort, soudain, est devenue une affaire payante.