D'Ahidjo à Biya. Le changement au Cameroun
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- Nombre de pages260
- PrésentationBroché
- Poids0.324 kg
- Dimensions1,4 cm × 2,2 cm × 0,1 cm
- ISBN2-7384-4268-4
- EAN9782738442680
- Date de parution01/01/1996
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Les dirigeants du Renouveau camerounais ont voulu trop vite enterrer leurs prédécesseurs. L'ombre du Président Ahidjo a lourdement plané sur le successeur qu'il s'était lui-même choisi. Les intrigues de l'entourage du Renouveau, armé du slogan " Rigueur et Moralisation ", ainsi que ses irresponsabilités économiques, ont conduit de concert et impitoyablement le Cameroun vers l'abîme. Dès la première année de l'ère de Biya, la rupture était esquissée et elle interviendra très vite, dans le sang.
Le Changement, si fort prôné au départ, a abouti, à l'arrivée, à la partition du pays en ethnies manipulées jusqu'à la rivalité, à la recherche du gain effréné et en toute impunité de la part des élites au pouvoir, alors que les populations se morfondent dans l'économie de la misère et dans un climat de peur. Poursuivant son oeuvre d'éclairage sur " la période Ahidjo " et sur l'homme lui-même, offrant ses réflexions d'habitué des arcanes du pouvoir ante Biya, l'auteur fait encore une fois découvrir que l'on peut, en Afrique comme ailleurs, être un homme politique conséquent avec soi-même, avec ses actes passés, avoir servi honnêtement un pouvoir même " fort ", et le défendre longtemps après qu'il ait disparu, et dans les circonstances les plus difficiles.
Le Changement, si fort prôné au départ, a abouti, à l'arrivée, à la partition du pays en ethnies manipulées jusqu'à la rivalité, à la recherche du gain effréné et en toute impunité de la part des élites au pouvoir, alors que les populations se morfondent dans l'économie de la misère et dans un climat de peur. Poursuivant son oeuvre d'éclairage sur " la période Ahidjo " et sur l'homme lui-même, offrant ses réflexions d'habitué des arcanes du pouvoir ante Biya, l'auteur fait encore une fois découvrir que l'on peut, en Afrique comme ailleurs, être un homme politique conséquent avec soi-même, avec ses actes passés, avoir servi honnêtement un pouvoir même " fort ", et le défendre longtemps après qu'il ait disparu, et dans les circonstances les plus difficiles.
Les dirigeants du Renouveau camerounais ont voulu trop vite enterrer leurs prédécesseurs. L'ombre du Président Ahidjo a lourdement plané sur le successeur qu'il s'était lui-même choisi. Les intrigues de l'entourage du Renouveau, armé du slogan " Rigueur et Moralisation ", ainsi que ses irresponsabilités économiques, ont conduit de concert et impitoyablement le Cameroun vers l'abîme. Dès la première année de l'ère de Biya, la rupture était esquissée et elle interviendra très vite, dans le sang.
Le Changement, si fort prôné au départ, a abouti, à l'arrivée, à la partition du pays en ethnies manipulées jusqu'à la rivalité, à la recherche du gain effréné et en toute impunité de la part des élites au pouvoir, alors que les populations se morfondent dans l'économie de la misère et dans un climat de peur. Poursuivant son oeuvre d'éclairage sur " la période Ahidjo " et sur l'homme lui-même, offrant ses réflexions d'habitué des arcanes du pouvoir ante Biya, l'auteur fait encore une fois découvrir que l'on peut, en Afrique comme ailleurs, être un homme politique conséquent avec soi-même, avec ses actes passés, avoir servi honnêtement un pouvoir même " fort ", et le défendre longtemps après qu'il ait disparu, et dans les circonstances les plus difficiles.
Le Changement, si fort prôné au départ, a abouti, à l'arrivée, à la partition du pays en ethnies manipulées jusqu'à la rivalité, à la recherche du gain effréné et en toute impunité de la part des élites au pouvoir, alors que les populations se morfondent dans l'économie de la misère et dans un climat de peur. Poursuivant son oeuvre d'éclairage sur " la période Ahidjo " et sur l'homme lui-même, offrant ses réflexions d'habitué des arcanes du pouvoir ante Biya, l'auteur fait encore une fois découvrir que l'on peut, en Afrique comme ailleurs, être un homme politique conséquent avec soi-même, avec ses actes passés, avoir servi honnêtement un pouvoir même " fort ", et le défendre longtemps après qu'il ait disparu, et dans les circonstances les plus difficiles.