Cycle de Gui de Clairbois Tome 3
Les Chemins de la honte. A la grâce de Dieu

Par : Pierre Naudin
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  • Nombre de pages347
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.565 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,8 cm
  • ISBN2-84498-016-3
  • EAN9782844980168
  • Date de parution18/06/2001
  • ÉditeurAubéron

Résumé

Pour secourir Sigismond de Hongrie dont le royaume est menacé par les Turcs, une immense armée franco-bourguignonne précédant ses alliés quitte Dijon le 30 avril 1396. Les princes chargés du commandement font assaut d'ostentation tant par leurs armes, armures et vêtements que par leurs richesses entassées dans d'innombrables chariots. Le jeune chevalier Gui de Clairbois, au service du maréchal Jean le Meingre, dit Boucicaut, figure parmi les croisés. Sa mémoire lui restitue parfois, outre celle de sa mère, l'image décevante d'Alix, prématurément disparue ; celle de Marie, la paysanne de Wizernes qui lui avait inspiré une compassion profonde, et enfin celle d'Héloïse, la fille d'un armurier de Tours qu'il a décidé d'épouser dès son retour de Turquie. Mais en reviendra-t-il ? La présomption des grands capitaines dont il subit peu ou prou l'autorité ne cesse de le consterner. Un inguérissable pessimisme le gagne. Son unique satisfaction est d'avoir secouru et sauvé une jeune Turque, aidé par son " copain " Yvain d'Antigny. Les exactions, les beuveries voire les bacchanales se succèdent. Gui en tire les leçons. Cet ost dit " chrétien " et dévoyé mérite la défaite et ses grands chevaliers le déshonneur. Le 25 septembre 1396, dans la plaine et sur les collines de Nicopolis, Bayézid le Turc, surnommé l'Eclair ou la Tempête, vaincra les derniers croisés et ordonnera aux janissaires et aux sipahis survivants du massacre d'assouvir leur vengeance et la sienne en exécutant, dans des conditions atroces, 3000 rescapés d'une armée réduite en lambeaux. Capturés eux aussi et promis à un trépas terrifiant, Gui et Antigny s'apprêtent à mourir...
Pour secourir Sigismond de Hongrie dont le royaume est menacé par les Turcs, une immense armée franco-bourguignonne précédant ses alliés quitte Dijon le 30 avril 1396. Les princes chargés du commandement font assaut d'ostentation tant par leurs armes, armures et vêtements que par leurs richesses entassées dans d'innombrables chariots. Le jeune chevalier Gui de Clairbois, au service du maréchal Jean le Meingre, dit Boucicaut, figure parmi les croisés. Sa mémoire lui restitue parfois, outre celle de sa mère, l'image décevante d'Alix, prématurément disparue ; celle de Marie, la paysanne de Wizernes qui lui avait inspiré une compassion profonde, et enfin celle d'Héloïse, la fille d'un armurier de Tours qu'il a décidé d'épouser dès son retour de Turquie. Mais en reviendra-t-il ? La présomption des grands capitaines dont il subit peu ou prou l'autorité ne cesse de le consterner. Un inguérissable pessimisme le gagne. Son unique satisfaction est d'avoir secouru et sauvé une jeune Turque, aidé par son " copain " Yvain d'Antigny. Les exactions, les beuveries voire les bacchanales se succèdent. Gui en tire les leçons. Cet ost dit " chrétien " et dévoyé mérite la défaite et ses grands chevaliers le déshonneur. Le 25 septembre 1396, dans la plaine et sur les collines de Nicopolis, Bayézid le Turc, surnommé l'Eclair ou la Tempête, vaincra les derniers croisés et ordonnera aux janissaires et aux sipahis survivants du massacre d'assouvir leur vengeance et la sienne en exécutant, dans des conditions atroces, 3000 rescapés d'une armée réduite en lambeaux. Capturés eux aussi et promis à un trépas terrifiant, Gui et Antigny s'apprêtent à mourir...