CUISINE DU DAUPHINE DE A A Z.. Drôme, Hautes-Alpes, Isère

Par : A Vallentin Du Cheylard, Vallentin d' Arces

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  • Nombre de pages159
  • PrésentationRelié
  • Poids0.23 kg
  • Dimensions12,5 cm × 18,6 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-86253-216-9
  • EAN9782862532165
  • Date de parution30/05/1997
  • Collectiondictionnaire de la cuisine
  • ÉditeurBonneton (Christine)

Résumé

Le Dauphiné ? On pense Grenoble et quelques stations célèbres de sports d'hiver. La cuisine ? Le gratin dauphinois, évidemment. Et pourtant ! Le Dauphiné, formé des trois départements de l'Isère, de la Drôme et des Hautes-Alpes présente une variété infinie de paysages, des cimes de l'Oisans aux oliveraies des Baronnies et aux rives industrieuses du Rhône ; il offre une diversité étonnante de cuisines qui mêlent allègrement le Nord et le Midi et adoptent ou transfigurent sans complexe les nourritures des voisins, telles les pâtes des Piémontais, devenues ravioles, rioles ganèfles, crozets, ou les gratins des Méridionaux, aux pommes de terre certes, mais aussi à tous ces légumes verts dont on est si friand dans les vallées du Rhône et de l'Isère. Comme la province s'est mêlée au royaume de France, la cuisine de ce pays de frontière a si bien su mêler les saveurs qu'on en néglige sa personnalité. Et on oublie que, comme la Bresse, elle a influencé la cuisine lyonnaise par le biais de ses poulardes en vessie et de ses cuisinières placées à Lyon... Une promenade dans la cuisine dauphinoise, c'est un voyage au pays de la Chartreuse, des gâteaux aux noix, des terrines aux olives, des chaussons aux truffes, mais c'est aussi un voyage dans le temps, à l'époque des béjardes coucourdo, de la truffade, des caillettes cuites dans les fourneaux à bois et des confitures de gégerine maison.
Le Dauphiné ? On pense Grenoble et quelques stations célèbres de sports d'hiver. La cuisine ? Le gratin dauphinois, évidemment. Et pourtant ! Le Dauphiné, formé des trois départements de l'Isère, de la Drôme et des Hautes-Alpes présente une variété infinie de paysages, des cimes de l'Oisans aux oliveraies des Baronnies et aux rives industrieuses du Rhône ; il offre une diversité étonnante de cuisines qui mêlent allègrement le Nord et le Midi et adoptent ou transfigurent sans complexe les nourritures des voisins, telles les pâtes des Piémontais, devenues ravioles, rioles ganèfles, crozets, ou les gratins des Méridionaux, aux pommes de terre certes, mais aussi à tous ces légumes verts dont on est si friand dans les vallées du Rhône et de l'Isère. Comme la province s'est mêlée au royaume de France, la cuisine de ce pays de frontière a si bien su mêler les saveurs qu'on en néglige sa personnalité. Et on oublie que, comme la Bresse, elle a influencé la cuisine lyonnaise par le biais de ses poulardes en vessie et de ses cuisinières placées à Lyon... Une promenade dans la cuisine dauphinoise, c'est un voyage au pays de la Chartreuse, des gâteaux aux noix, des terrines aux olives, des chaussons aux truffes, mais c'est aussi un voyage dans le temps, à l'époque des béjardes coucourdo, de la truffade, des caillettes cuites dans les fourneaux à bois et des confitures de gégerine maison.