Cuba, ya te olvidé

Par : Jan-Cornel Eder
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  • Nombre de pages220
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.515 kg
  • Dimensions20,0 cm × 15,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-919483-61-7
  • EAN9782919483617
  • Date de parution03/02/2019
  • CollectionPoses
  • ÉditeurL'Echappée belle édition

Résumé

Cuba - ya te olvidé est un véritable hommage à toute une nation en suspens, bercée par de nombreuses promesses, attentes et espoirs. Toujours avec cette obsession d'éterniser la magie du moment, JCE nous livre une archive visuelle témoin de toute une époque. Il y dépeint avec une multitude de clichés pris sur le vif la schizophrénie d'une nation prise en otage entre deux mondes et deux vérités vécus au quotidien par un peuple qui semble endormi par la nostalgie d'hier mais animé par les désirs du lendemain.
Son processus créatif consiste à fragmenter les instants, les séquences de vie, donner de l'importance au moment. Cette fragmentation du temps nous fait oublier un contexte douloureux. C'est l'essence même du beau qui retient notre regard. JCE exprime ce moment par le flou de l'image, tel une eau trouble qui brouille les timides frontières entre le réel et le fantasmé. Plutôt que d'opter pour du photojournalisme de "haute résolution", JCE capte notre attention en se positionnant en "conteur d'images" offrant ainsi une liberté absolue à l'imagination.
Cuba - ya te olvidé est un véritable hommage à toute une nation en suspens, bercée par de nombreuses promesses, attentes et espoirs. Toujours avec cette obsession d'éterniser la magie du moment, JCE nous livre une archive visuelle témoin de toute une époque. Il y dépeint avec une multitude de clichés pris sur le vif la schizophrénie d'une nation prise en otage entre deux mondes et deux vérités vécus au quotidien par un peuple qui semble endormi par la nostalgie d'hier mais animé par les désirs du lendemain.
Son processus créatif consiste à fragmenter les instants, les séquences de vie, donner de l'importance au moment. Cette fragmentation du temps nous fait oublier un contexte douloureux. C'est l'essence même du beau qui retient notre regard. JCE exprime ce moment par le flou de l'image, tel une eau trouble qui brouille les timides frontières entre le réel et le fantasmé. Plutôt que d'opter pour du photojournalisme de "haute résolution", JCE capte notre attention en se positionnant en "conteur d'images" offrant ainsi une liberté absolue à l'imagination.