Croire ou ne pas croire

Par : Monique Cottret

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages373
  • PrésentationBroché
  • Poids0.485 kg
  • Dimensions14,5 cm × 21,1 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-84174-624-8
  • EAN9782841746248
  • Date de parution17/05/2013
  • CollectionLe sens de l'histoire
  • ÉditeurKimé

Résumé

Le verbe croire renvoie à des réalités diverses et contradictoires. Croire c'est à la fois être certain, tenir pour vrai, adhérer avec conviction, mais c'est aussi, penser, admettre comme probable, envisager comme possible, et donc ouvrir la voie au doute, à l'opinion, au débat. Le verbe croire possède de multiples usages. Songeons que l'on croit en Dieu alors que l'on croit au diable. On croit à, on croit en, on croit que.
Les historiens mobilisés dans cet ouvrage s'interrogent sur ces modalités complexes de la croyance dans tous les domaines du champ social. Privilégier les temps de ruptures, de déconstruction des croyances, les seuils épistémologiques fut le fil conducteur de cette recherche entre "croire" et "ne pas croire".
Le verbe croire renvoie à des réalités diverses et contradictoires. Croire c'est à la fois être certain, tenir pour vrai, adhérer avec conviction, mais c'est aussi, penser, admettre comme probable, envisager comme possible, et donc ouvrir la voie au doute, à l'opinion, au débat. Le verbe croire possède de multiples usages. Songeons que l'on croit en Dieu alors que l'on croit au diable. On croit à, on croit en, on croit que.
Les historiens mobilisés dans cet ouvrage s'interrogent sur ces modalités complexes de la croyance dans tous les domaines du champ social. Privilégier les temps de ruptures, de déconstruction des croyances, les seuils épistémologiques fut le fil conducteur de cette recherche entre "croire" et "ne pas croire".