Crises financières et régulations bancaires

Par : Bruno Moschetto, Bruno-Laurent Moschetto
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages128
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.1 kg
  • Dimensions11,5 cm × 17,6 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-13-078642-9
  • EAN9782130786429
  • Date de parution07/06/2017
  • CollectionQue sais-je ?
  • ÉditeurQue sais-je ?

Résumé

Quel point commun entre la crise de 1929 et celle de 2007 ? A l'origine de l'une comme de l'autre : la non-séparation entre les banques de dépôts et les banques d'affaires. En 1929, la baisse du prix des actions en Bourse empêche de faire face aux demandes de retraits des déposants, entraînant de nombreuses faillites. En 2007, ce sont les crédits subprimes qui s'invitent dans les actifs boursiers...
De ces deux grandes crises financières il n'a été possible de sortir que grâce aux Etats et à leurs plans de soutien, dont le financement s'est fait au prix de l'endettement, surtout dans la zone euro. Dès 2010, les régulateurs américains ont adopté un mécanisme de séparation des activités. En Europe, un tel dispositif se fait encore attendre. Au risque de nouvelles crises ?
Quel point commun entre la crise de 1929 et celle de 2007 ? A l'origine de l'une comme de l'autre : la non-séparation entre les banques de dépôts et les banques d'affaires. En 1929, la baisse du prix des actions en Bourse empêche de faire face aux demandes de retraits des déposants, entraînant de nombreuses faillites. En 2007, ce sont les crédits subprimes qui s'invitent dans les actifs boursiers...
De ces deux grandes crises financières il n'a été possible de sortir que grâce aux Etats et à leurs plans de soutien, dont le financement s'est fait au prix de l'endettement, surtout dans la zone euro. Dès 2010, les régulateurs américains ont adopté un mécanisme de séparation des activités. En Europe, un tel dispositif se fait encore attendre. Au risque de nouvelles crises ?