Un matin de juin,Gloria embarque ses deux filles et quitte le Sud de la France pour se rendre dans la vieille maison de sa grand-mère en Alsace au milieu d'une forêt. Que fuit-elle ? Qui fuit-elle ? Qui est vraiment Gloria ? Une jeune mère de famille façon louve,une veuve éplorée d'un petit truand ?
Avec une écriture resserrée,Véronique Ovaldé distille au compte-gouttes les informations avant la révélation finale, surprenante, fracassante. Et pourtant, elle nous avait prévenu dès le titre !
Il y a trente ans, en 1981, la France, suivie par tous les pays membres de l'Union européenne, abolissait la peine de mort. Celle-ci demeure, malheureusement,... > Lire la suite
Il y a trente ans, en 1981, la France, suivie par tous les pays membres de l'Union européenne, abolissait la peine de mort. Celle-ci demeure, malheureusement, encore appliquée dans de nombreux pays: des dictatures, mais aussi des démocraties. Depuis des millénaires, l'homme n'a jamais cessé de perfectionner ses machines à tuer. De la crucifixion à la chaise électrique, de la roue à la guillotine et à la lapidation, l'imagination ne lui a jamais fait défaut. Si les machines à tuer ont achevé des criminels, elles ont aussi servi la raison d'Etat. En décrivant ces meurtres, dont furent victimes tant d'innocents, Claude Mossé, historien et conteur, nous livre sans excès de langage, accompagnée de quelques exemples illustres et tragiques, l'évolution sinistre des machines à tuer. Sans jamais s'écarter des observations scientifiques. Qui peut encore croire à la mort immédiate d'un supplicié? Elle ne survient jamais dans l'instant. Plus horrible encore lorsqu'elle est injustement appliquée... Les ultimes défenseurs de la peine de mort seront-ils convaincus que répondre à un crime par un autre crime, fût-il d'Etat, demeure une tache de sang honteuse pour des sociétés s'affirmant civilisées ?
Claude Mossé, historien, grand reporter, conteur du passé et du présent, a toujours milité, dans tous les pays qu'il a parcourus, contre les horreurs de la peine de mort. À plus de 80 ans, son indignation demeure intacte.
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