Création romanesque négro-africaine et ressources de la littérature orale
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- Nombre de pages199
- PrésentationBroché
- Poids0.355 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,4 cm
- ISBN2-296-00315-X
- EAN9782296003156
- Date de parution01/02/2006
- CollectionApproches littéraires
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Depuis Les soleils des indépendances d'Ahmadou Kourouma et Le devoir de violence de Yambo Ouologuem, s'est opérée dans le domaine du roman africain, une rupture fondatrice d'une nouvelle esthétique ; celle qui a pris le parti d'écrire un roman différent, authentique et autonome. Aujourd'hui, les actions conjuguées d'une "nouvelle génération" de romanciers et de critiques indiquent clairement que l'existence du roman africain est subordonnée au renouvellement de sa forme.
Cet enjeu, J. M Adiaffi et M. Bandaman l'ont compris. L'écriture n'zassa de l'un et le conte-romanesque de l'autre ont donné des oeuvres originales en puisant dans les ressources de la littérature orale et en adoptant les nouvelles formes d'écriture expérimentées sous d'autres cieux.
Cet enjeu, J. M Adiaffi et M. Bandaman l'ont compris. L'écriture n'zassa de l'un et le conte-romanesque de l'autre ont donné des oeuvres originales en puisant dans les ressources de la littérature orale et en adoptant les nouvelles formes d'écriture expérimentées sous d'autres cieux.
Depuis Les soleils des indépendances d'Ahmadou Kourouma et Le devoir de violence de Yambo Ouologuem, s'est opérée dans le domaine du roman africain, une rupture fondatrice d'une nouvelle esthétique ; celle qui a pris le parti d'écrire un roman différent, authentique et autonome. Aujourd'hui, les actions conjuguées d'une "nouvelle génération" de romanciers et de critiques indiquent clairement que l'existence du roman africain est subordonnée au renouvellement de sa forme.
Cet enjeu, J. M Adiaffi et M. Bandaman l'ont compris. L'écriture n'zassa de l'un et le conte-romanesque de l'autre ont donné des oeuvres originales en puisant dans les ressources de la littérature orale et en adoptant les nouvelles formes d'écriture expérimentées sous d'autres cieux.
Cet enjeu, J. M Adiaffi et M. Bandaman l'ont compris. L'écriture n'zassa de l'un et le conte-romanesque de l'autre ont donné des oeuvres originales en puisant dans les ressources de la littérature orale et en adoptant les nouvelles formes d'écriture expérimentées sous d'autres cieux.