« Il y a autant de façons d’aimer qu’il y a d’êtres humains en ce monde. Aucune relation amoureuse ne ressemble à une autre. Et tant mieux, sinon il n’y aurait eu qu’un seul roman d’amour écrit à travers les âges. »
On se retrouve avec le 3éme et dernier tome de la série “Coup de foudre à Manhattan”.
Pour ce titre, on va parler de Eva, la meilleure pour la fin.
Eva c’est la “romantique incurable” comme elle se décrit. C’est une femme amoureuse de la vie et qui croit inconditionnellement en la bonté en chaque Homme et en l’amour.
C’est la fille
“no filter”, elle ne peut s’empêcher de dire tout ce qui lui passe par la tête, quitte à se retrouver dans des situations un peu embarrassantes.
Mais elle gardera toujours sa joie de vivre débordante.
Eva n’a jamais vraiment connu le grand amour. À l’arrivée de Noël, sa fête préférée, elle se sent un peu faiblir à cause de la perte récente de sa grand-mère qui était sa seule famille. Mais grâce à l’une de ses clientes, devenue une amie, elle va pouvoir se vider la tête en accomplissant la mission qui lui est confiée: décorer et mettre un peu de joie dans l’appartement de son petit-fils qui n’est autre que l’écrivain de thrillers à succès Lucas Blade.
Comment vous dire que la rencontre entre Eva et Lucas ressemble au Big Bang.
D’un côté Eva, la positive, la joyeuse ne voyant pas le mal et de l’autre Lucas, l’aigri, qui voit plus le mal que le bien dans chaque personnes. Eva la romantique et Lucas qui ne croit plus en l’amour.
Pour Eva, la mission que lui a confiée Mizzy relève presque de l’impossible quand elle découvre la personnalité peu chaleureuse de Lucas et le syndrome de la page blanche qui le traverse alors qu’il doit rendre son manuscrit avant Noël.
J’ai adorée cette saga qui aborde différentes approches de l’amour. Effectivement, nous n’avons pas tous la même approche, le même passé, les mêmes peurs à s’engager, à aimer.
L’amour n’est pas évident mais c’est un très beau trésor.
Sacrée Eva
« Il y a autant de façons d’aimer qu’il y a d’êtres humains en ce monde. Aucune relation amoureuse ne ressemble à une autre. Et tant mieux, sinon il n’y aurait eu qu’un seul roman d’amour écrit à travers les âges. »
On se retrouve avec le 3éme et dernier tome de la série “Coup de foudre à Manhattan”.
Pour ce titre, on va parler de Eva, la meilleure pour la fin.
Eva c’est la “romantique incurable” comme elle se décrit. C’est une femme amoureuse de la vie et qui croit inconditionnellement en la bonté en chaque Homme et en l’amour.
C’est la fille “no filter”, elle ne peut s’empêcher de dire tout ce qui lui passe par la tête, quitte à se retrouver dans des situations un peu embarrassantes.
Mais elle gardera toujours sa joie de vivre débordante.
Eva n’a jamais vraiment connu le grand amour. À l’arrivée de Noël, sa fête préférée, elle se sent un peu faiblir à cause de la perte récente de sa grand-mère qui était sa seule famille. Mais grâce à l’une de ses clientes, devenue une amie, elle va pouvoir se vider la tête en accomplissant la mission qui lui est confiée: décorer et mettre un peu de joie dans l’appartement de son petit-fils qui n’est autre que l’écrivain de thrillers à succès Lucas Blade.
Comment vous dire que la rencontre entre Eva et Lucas ressemble au Big Bang.
D’un côté Eva, la positive, la joyeuse ne voyant pas le mal et de l’autre Lucas, l’aigri, qui voit plus le mal que le bien dans chaque personnes. Eva la romantique et Lucas qui ne croit plus en l’amour.
Pour Eva, la mission que lui a confiée Mizzy relève presque de l’impossible quand elle découvre la personnalité peu chaleureuse de Lucas et le syndrome de la page blanche qui le traverse alors qu’il doit rendre son manuscrit avant Noël.
J’ai adorée cette saga qui aborde différentes approches de l’amour. Effectivement, nous n’avons pas tous la même approche, le même passé, les mêmes peurs à s’engager, à aimer.
L’amour n’est pas évident mais c’est un très beau trésor.