Correspondance Vielé - Griffin - Ghéon
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- Nombre de pages272
- PrésentationRelié
- Poids0.395 kg
- Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 0,2 cm
- ISBN2-7453-0982-X
- EAN9782745309822
- Date de parution01/07/2004
- CollectionBibliothèque correspondances
- ÉditeurHonoré Champion
Résumé
Dans L'Ermitage de septembre 1896, Henri Ghéon (1875-1944) consacre un article très élogieux aux vers de l'Américain Francis Vielé-Griffin (1863-1937), lequel s'empresse de remercier le jeune critique. C'est le début d'une correspondance de quarante ans et la naissance d'une amitié qui ne s'éteindra qu'à la mort de Vielé-Griffin, en 1937. Lieu privilégié de discussions, les lettres se font l'écho des grands débats du moment.
Ghéon et Vielé-Griffin y commentent les derniers numéros de revues comme Le Mercure, La Phalange ou La Nouvelle Revue Française ; ils évoquent André Gide, l'ami commun, mais aussi Apollinaire, Paul Claudel, Paul Valéry et bien d'autres contemporains. Avec les années 1914-18, durant lesquelles Ghéon est médecin militaire au front, la correspondance se mue en témoignages mêlant le tragique et l'humour.
Après la guerre, les lettres de Vielé-Griffin retracent les inquiétudes métaphysiques de leur auteur et sa foi inaltérable en la poésie, quand celles de Ghéon rendent compte d'une évolution littéraire et spirituelle liée à sa conversion.
Ghéon et Vielé-Griffin y commentent les derniers numéros de revues comme Le Mercure, La Phalange ou La Nouvelle Revue Française ; ils évoquent André Gide, l'ami commun, mais aussi Apollinaire, Paul Claudel, Paul Valéry et bien d'autres contemporains. Avec les années 1914-18, durant lesquelles Ghéon est médecin militaire au front, la correspondance se mue en témoignages mêlant le tragique et l'humour.
Après la guerre, les lettres de Vielé-Griffin retracent les inquiétudes métaphysiques de leur auteur et sa foi inaltérable en la poésie, quand celles de Ghéon rendent compte d'une évolution littéraire et spirituelle liée à sa conversion.
Dans L'Ermitage de septembre 1896, Henri Ghéon (1875-1944) consacre un article très élogieux aux vers de l'Américain Francis Vielé-Griffin (1863-1937), lequel s'empresse de remercier le jeune critique. C'est le début d'une correspondance de quarante ans et la naissance d'une amitié qui ne s'éteindra qu'à la mort de Vielé-Griffin, en 1937. Lieu privilégié de discussions, les lettres se font l'écho des grands débats du moment.
Ghéon et Vielé-Griffin y commentent les derniers numéros de revues comme Le Mercure, La Phalange ou La Nouvelle Revue Française ; ils évoquent André Gide, l'ami commun, mais aussi Apollinaire, Paul Claudel, Paul Valéry et bien d'autres contemporains. Avec les années 1914-18, durant lesquelles Ghéon est médecin militaire au front, la correspondance se mue en témoignages mêlant le tragique et l'humour.
Après la guerre, les lettres de Vielé-Griffin retracent les inquiétudes métaphysiques de leur auteur et sa foi inaltérable en la poésie, quand celles de Ghéon rendent compte d'une évolution littéraire et spirituelle liée à sa conversion.
Ghéon et Vielé-Griffin y commentent les derniers numéros de revues comme Le Mercure, La Phalange ou La Nouvelle Revue Française ; ils évoquent André Gide, l'ami commun, mais aussi Apollinaire, Paul Claudel, Paul Valéry et bien d'autres contemporains. Avec les années 1914-18, durant lesquelles Ghéon est médecin militaire au front, la correspondance se mue en témoignages mêlant le tragique et l'humour.
Après la guerre, les lettres de Vielé-Griffin retracent les inquiétudes métaphysiques de leur auteur et sa foi inaltérable en la poésie, quand celles de Ghéon rendent compte d'une évolution littéraire et spirituelle liée à sa conversion.