Correspondance générale de La Beaumelle (1726-1773). Tome 17, Septembre 1769 - 1er août 1772

Par : La Beaumelle
    • Nombre de pages912
    • PrésentationRelié
    • FormatGrand Format
    • Poids1.665 kg
    • Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 5,8 cm
    • ISBN978-2-7453-5891-2
    • EAN9782745358912
    • Date de parution25/11/2022
    • CollectionBibliothèque correspondances
    • ÉditeurHonoré Champion
    • Directeur scientifiqueHubert Bost
    • Directeur scientifiqueClaude Lauriol
    • Directeur de publicationHubert Angliviel de la Beaumelle

    Résumé

    La Beaumelle a fini par se décider à gagner Paris pour profiter de l'entregent de Chon Du Barry. Il espère y publier enfin sa traduction de Tacite, sa Vie de Maupertuis, une édition commentée de La Henriade, et obtenir une charge lucrative. Il est bientôt chargé officieusement de constituer la bibliothèque de la comtesse Du Barry. Il est en relation avec le duc de Richelieu, le duc de La Vrillière, les ministres et la maîtresse du roi.
    La Lettre de M. de La Beaumelle à Messieurs Philibert et Chirol qu'il publie dans l'Année littéraire est le signe qu'il songe à entrer à l'Académie française, couronnement qui inquiète Voltaire. Son état de santé qui va en empirant, et sa dépendance envers Anne de Faverolles, qui le loge et s'est prise de passion pour lui, sans compter les restrictions budgétaires, lui permettront d'obtenir seulement le titre d'homme de lettres attaché à la Bibliothèque du roi.
    Il quitte Paris pour Mazères où sa femme veut revenir pour accoucher de leur second enfant.
    La Beaumelle a fini par se décider à gagner Paris pour profiter de l'entregent de Chon Du Barry. Il espère y publier enfin sa traduction de Tacite, sa Vie de Maupertuis, une édition commentée de La Henriade, et obtenir une charge lucrative. Il est bientôt chargé officieusement de constituer la bibliothèque de la comtesse Du Barry. Il est en relation avec le duc de Richelieu, le duc de La Vrillière, les ministres et la maîtresse du roi.
    La Lettre de M. de La Beaumelle à Messieurs Philibert et Chirol qu'il publie dans l'Année littéraire est le signe qu'il songe à entrer à l'Académie française, couronnement qui inquiète Voltaire. Son état de santé qui va en empirant, et sa dépendance envers Anne de Faverolles, qui le loge et s'est prise de passion pour lui, sans compter les restrictions budgétaires, lui permettront d'obtenir seulement le titre d'homme de lettres attaché à la Bibliothèque du roi.
    Il quitte Paris pour Mazères où sa femme veut revenir pour accoucher de leur second enfant.