Correspondance entre le grand duc Nicolas Mikhaïlovitch de Russie et Frédéric Masson 1897-1914. Au temps de l'alliance franco-russe
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages822
- PrésentationBroché
- Poids1.17 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,5 cm × 3,7 cm
- ISBN2-909034-86-0
- EAN9782909034867
- Date de parution01/09/2005
- ÉditeurBernard Giovanangeli Editeur
Résumé
Le grand-duc Nicolas Mikhaïlovitch de Russie et Frédéric Masson. Deux hommes que le rang et l'éloignement séparent, mais qui, animés d'une passion commune pour l'Histoire, celle d'Alexandre 1e pour l'un, celle de Napoléon pour l'autre, trouvent dans une correspondance suivie le bonheur d'échanger sur leurs héros et sur les travaux historiques que chacun leur consacre. Au-delà de cette confrontation d'idées, leurs lettres témoignent aussi des événements politiques de leurs deux pays, la Russie et la France, unies en cette fin de XIXe siècle par une alliance, qui est la toile de fond de l'amitié entre les deux historiens. Depuis l'Affaire Dreyfus jusqu'à l'été de 1914, cette correspondance mêle les portraits de contemporains aux considérations autour de l'épopée napoléonienne. Elle entraîne le lecteur au cœur d'une époque passionnante et déjà tragique, au miroir de laquelle se peignent les sentiments et les idées de deux hommes confrontés à l'évolution d'un monde avec lequel ils vont disparaître.
Le grand-duc Nicolas Mikhaïlovitch de Russie et Frédéric Masson. Deux hommes que le rang et l'éloignement séparent, mais qui, animés d'une passion commune pour l'Histoire, celle d'Alexandre 1e pour l'un, celle de Napoléon pour l'autre, trouvent dans une correspondance suivie le bonheur d'échanger sur leurs héros et sur les travaux historiques que chacun leur consacre. Au-delà de cette confrontation d'idées, leurs lettres témoignent aussi des événements politiques de leurs deux pays, la Russie et la France, unies en cette fin de XIXe siècle par une alliance, qui est la toile de fond de l'amitié entre les deux historiens. Depuis l'Affaire Dreyfus jusqu'à l'été de 1914, cette correspondance mêle les portraits de contemporains aux considérations autour de l'épopée napoléonienne. Elle entraîne le lecteur au cœur d'une époque passionnante et déjà tragique, au miroir de laquelle se peignent les sentiments et les idées de deux hommes confrontés à l'évolution d'un monde avec lequel ils vont disparaître.