Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ces dernières années sont pour Lamartine, écrasé par les dettes, le temps du désespoir et de l'humiliation. Pour trouver des ressources, il crée...
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Livré chez vous entre le 11 octobre et le 25 octobre
En librairie
Résumé
Ces dernières années sont pour Lamartine, écrasé par les dettes, le temps du désespoir et de l'humiliation. Pour trouver des ressources, il crée en 1856 une nouvelle publication périodique, le Cours familier de littérature, qu'il réussira à poursuivre jusqu'à sa mort, au rythme d'une livraison par mois. 1858 voit le lancement de la souscription nationale ouverte en sa faveur ; incomprise par une grande partie de l'opinion publique, qui la considéra comme une entreprise de mendicité déguisée, elle ne rapporta guère. En 1860, il s'engage dans sa dernière grande entreprise de librairie, l'édition par lui-même de ses Œuvres complètes en 40 volumes. Mais tout cela ne suffit pas à combler le gouffre de ses dettes, et pas davantage la vente de sa propriété de Milly, si chère à son cœur. Après la mort en mai 1863 de son épouse, qui n'a jamais cessé de le soutenir dans ses revers avec une indomptable énergie, c'est sa nièce Valentine qui veille avec beaucoup de dévouement sur un Lamartine définitivement brisé, mais qui tiendra la plume jusqu'au bout. Le 1er mai 1867, il est victime d'une attaque d'apoplexie dont, intellectuellement, il ne se remettra pas ; il disparaît le 28 février 1869. La lecture de la correspondance permet de suivre, étape par étape, le calvaire sur lequel s'achève la vie de l'auteur des Méditations et du héros de février 1848.