Correspondance. Tome IV, 1847-1849
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- Nombre de pages660
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.91 kg
- Dimensions15,2 cm × 22,2 cm × 3,5 cm
- ISBN978-2-600-06648-8
- EAN9782600066488
- Date de parution20/05/2025
- CollectionHistoire des idées et critique
- ÉditeurDroz
Résumé
Ce nouveau tome de la Correspondance de James Pradier, quatrième volet d'une aventure éditoriale amorcée il y a cinquante ans, couvre une période charnière dans la carrière du sculpteur, englobant la dernière année du règne de Louis-Philippe, la révolution de 1848 et la première année de la IIe République sous la présidence de Louis- Napoléon. Douglas Siler y enrichit notre connaissance de sa vie et de son oeuvre au fil d'une lecture minutieuse de ses lettres, copieusement annotées et complétées par de nombreux documents annexes.
On y suit de près l'évolution des projets prestigieux qu'il mène de front à l'époque : douze statues monumentales au tombeau de Napoléon, cinq autres à la fontaine de Nîmes, une statue commémorative de Saint Louis pour Aigues-Mortes et un buste "colossal" de Lamartine pour Arles. Il continue en même temps sa production assidue d'autres bustes et de statuettes, expose chaque année de nouvelles oeuvres au Salon (Une Pietà, Nyssia, Sapho debout, Chloris...) et réussit enfin, après une première tentative avortée en 1842, à vendre son groupe de Vénus et l'Amour au tsar de Russie.
On l'accompagne dans ses séjours à Nîmes ainsi qu'à Genève, sa ville natale, où il rêve d'exécuter en marbre son Polyphème surprenant Acis et Galatée pour la fontaine de la place du Molard. Parmi ses correspondants figurent Victor Hugo, Juliette Drouet, Flaubert et Maxime Du Camp, de même que son épouse, Louise d'Arcet, chassée du domicile conjugal pour cause d'adultère.
On y suit de près l'évolution des projets prestigieux qu'il mène de front à l'époque : douze statues monumentales au tombeau de Napoléon, cinq autres à la fontaine de Nîmes, une statue commémorative de Saint Louis pour Aigues-Mortes et un buste "colossal" de Lamartine pour Arles. Il continue en même temps sa production assidue d'autres bustes et de statuettes, expose chaque année de nouvelles oeuvres au Salon (Une Pietà, Nyssia, Sapho debout, Chloris...) et réussit enfin, après une première tentative avortée en 1842, à vendre son groupe de Vénus et l'Amour au tsar de Russie.
On l'accompagne dans ses séjours à Nîmes ainsi qu'à Genève, sa ville natale, où il rêve d'exécuter en marbre son Polyphème surprenant Acis et Galatée pour la fontaine de la place du Molard. Parmi ses correspondants figurent Victor Hugo, Juliette Drouet, Flaubert et Maxime Du Camp, de même que son épouse, Louise d'Arcet, chassée du domicile conjugal pour cause d'adultère.
Ce nouveau tome de la Correspondance de James Pradier, quatrième volet d'une aventure éditoriale amorcée il y a cinquante ans, couvre une période charnière dans la carrière du sculpteur, englobant la dernière année du règne de Louis-Philippe, la révolution de 1848 et la première année de la IIe République sous la présidence de Louis- Napoléon. Douglas Siler y enrichit notre connaissance de sa vie et de son oeuvre au fil d'une lecture minutieuse de ses lettres, copieusement annotées et complétées par de nombreux documents annexes.
On y suit de près l'évolution des projets prestigieux qu'il mène de front à l'époque : douze statues monumentales au tombeau de Napoléon, cinq autres à la fontaine de Nîmes, une statue commémorative de Saint Louis pour Aigues-Mortes et un buste "colossal" de Lamartine pour Arles. Il continue en même temps sa production assidue d'autres bustes et de statuettes, expose chaque année de nouvelles oeuvres au Salon (Une Pietà, Nyssia, Sapho debout, Chloris...) et réussit enfin, après une première tentative avortée en 1842, à vendre son groupe de Vénus et l'Amour au tsar de Russie.
On l'accompagne dans ses séjours à Nîmes ainsi qu'à Genève, sa ville natale, où il rêve d'exécuter en marbre son Polyphème surprenant Acis et Galatée pour la fontaine de la place du Molard. Parmi ses correspondants figurent Victor Hugo, Juliette Drouet, Flaubert et Maxime Du Camp, de même que son épouse, Louise d'Arcet, chassée du domicile conjugal pour cause d'adultère.
On y suit de près l'évolution des projets prestigieux qu'il mène de front à l'époque : douze statues monumentales au tombeau de Napoléon, cinq autres à la fontaine de Nîmes, une statue commémorative de Saint Louis pour Aigues-Mortes et un buste "colossal" de Lamartine pour Arles. Il continue en même temps sa production assidue d'autres bustes et de statuettes, expose chaque année de nouvelles oeuvres au Salon (Une Pietà, Nyssia, Sapho debout, Chloris...) et réussit enfin, après une première tentative avortée en 1842, à vendre son groupe de Vénus et l'Amour au tsar de Russie.
On l'accompagne dans ses séjours à Nîmes ainsi qu'à Genève, sa ville natale, où il rêve d'exécuter en marbre son Polyphème surprenant Acis et Galatée pour la fontaine de la place du Molard. Parmi ses correspondants figurent Victor Hugo, Juliette Drouet, Flaubert et Maxime Du Camp, de même que son épouse, Louise d'Arcet, chassée du domicile conjugal pour cause d'adultère.