Correspondance 1924-1933
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- Nombre de pages417
- PrésentationBroché
- Poids0.53 kg
- Dimensions15,0 cm × 22,5 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-35654-054-6
- EAN9782356540546
- Date de parution24/04/2015
- ÉditeurYpsilon Editeur
- AnnotateurBilly Dranty
Résumé
La correspondance croisée de René Daumal et Roger Gilbert-Lecomte, les deux bâtisseurs et principales têtes chercheuses du Grand Jeu (1928-1932), est un document de premier ordre. Ces quelques 154 lettres échangées entre 1924 et 1933 - ici pour la première fois rassemblées, publiées dans leur intégralité et richement annotées - retracent au plus près l'évolution des deux poètes, en leur amitié vive jusqu'à la rupture.
Automne 1927, Daumal écrit à Lecomte : «tu me ressembles si peu que ce qu'il y a de commun entre nous ne peut être que sublime.» Aussi, des premiers pas du Simplisme et ses expériences-limites à la création du groupe du Grand Jeu tenant tête au surréalisme glouton, c'est bien coude à coude et contre la Grosse Machine occidentale qu'ils vont traverser les steppes de grand'peur, la peur de la conscience claire, effroyablement claire comme du soleil.
Mieux qu'un roman épistolaire ou de formation, ce livre qui pourrait s'intituler Les années d'apprentissage de Roger Gilbert-Lecomte & René Daumal ne relève d'aucun genre littéraire, mais tous y sont pratiqués en les faisant sauter en éclats.
Automne 1927, Daumal écrit à Lecomte : «tu me ressembles si peu que ce qu'il y a de commun entre nous ne peut être que sublime.» Aussi, des premiers pas du Simplisme et ses expériences-limites à la création du groupe du Grand Jeu tenant tête au surréalisme glouton, c'est bien coude à coude et contre la Grosse Machine occidentale qu'ils vont traverser les steppes de grand'peur, la peur de la conscience claire, effroyablement claire comme du soleil.
Mieux qu'un roman épistolaire ou de formation, ce livre qui pourrait s'intituler Les années d'apprentissage de Roger Gilbert-Lecomte & René Daumal ne relève d'aucun genre littéraire, mais tous y sont pratiqués en les faisant sauter en éclats.
La correspondance croisée de René Daumal et Roger Gilbert-Lecomte, les deux bâtisseurs et principales têtes chercheuses du Grand Jeu (1928-1932), est un document de premier ordre. Ces quelques 154 lettres échangées entre 1924 et 1933 - ici pour la première fois rassemblées, publiées dans leur intégralité et richement annotées - retracent au plus près l'évolution des deux poètes, en leur amitié vive jusqu'à la rupture.
Automne 1927, Daumal écrit à Lecomte : «tu me ressembles si peu que ce qu'il y a de commun entre nous ne peut être que sublime.» Aussi, des premiers pas du Simplisme et ses expériences-limites à la création du groupe du Grand Jeu tenant tête au surréalisme glouton, c'est bien coude à coude et contre la Grosse Machine occidentale qu'ils vont traverser les steppes de grand'peur, la peur de la conscience claire, effroyablement claire comme du soleil.
Mieux qu'un roman épistolaire ou de formation, ce livre qui pourrait s'intituler Les années d'apprentissage de Roger Gilbert-Lecomte & René Daumal ne relève d'aucun genre littéraire, mais tous y sont pratiqués en les faisant sauter en éclats.
Automne 1927, Daumal écrit à Lecomte : «tu me ressembles si peu que ce qu'il y a de commun entre nous ne peut être que sublime.» Aussi, des premiers pas du Simplisme et ses expériences-limites à la création du groupe du Grand Jeu tenant tête au surréalisme glouton, c'est bien coude à coude et contre la Grosse Machine occidentale qu'ils vont traverser les steppes de grand'peur, la peur de la conscience claire, effroyablement claire comme du soleil.
Mieux qu'un roman épistolaire ou de formation, ce livre qui pourrait s'intituler Les années d'apprentissage de Roger Gilbert-Lecomte & René Daumal ne relève d'aucun genre littéraire, mais tous y sont pratiqués en les faisant sauter en éclats.