Né le 6 août 1868 à Villeneuve-sur-Fère (Aisne), Paul Claudel publie en 1889 son premier drame Tête d'Or. Diplomate, il sera nommé aux quatre coins du monde, jusqu'à sa retraite en 1935. Il est élu en 1946 à l'Académie française et meurt à Paris le 23 février 1955.
Correspondance 1899-1926
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- Nombre de pages400
- PrésentationBroché
- Poids0.44 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 2,5 cm
- ISBN2-07-021532-6
- EAN9782070215324
- Date de parution30/12/1949
- CollectionBlanche
- ÉditeurGallimard
- PréfacierRobert Mallet
Résumé
"Sans doute est-ce la première fois que deux écrivains - et qui plus est, deux écrivains d'une renommée prestigieuse - acceptent de laisser publier de leur vivant la correspondance qu'ils ont échangée. Certains esprits critiques pourraient voir dans ce consentement la manifestation d'un désir où la pudeur ne trouverait pas son compte en face d'une impatience mal contenue. Mais ce serait expliquer à la légère les mobiles d'une grave confrontation qui, pour être comprise, exige tout le poids de la plus objective attention.
Il ne s'agit pas seulement ici d'un long échange de missives au cours duquel les correspondants ont reflété les fluctuations de leur vie matérielle et morale. Toutes les correspondances nous offrent des lettres-miroirs. Celle que nous publions aujourd'hui propose davantage : des lettres-bornes, des lettres qui jalonnent un itinéraire en précisant des lieux et des distances, des lettres qu'il faut lire non seulement entre les lignes dont elles sont tissées, mais dans les intervalles qui les séparent, des lettres irradiantes autant par tout ce qu'elles disent que par tout ce qu'elles taisent, des lettres enfin où s'élabore, grâce à un jeu constant d'oppositions et d'attirances, de réticence et de franchise, la progression divergente de deux consciences vers ce que chacune croit être son progrès" Robert Mallet.
Il ne s'agit pas seulement ici d'un long échange de missives au cours duquel les correspondants ont reflété les fluctuations de leur vie matérielle et morale. Toutes les correspondances nous offrent des lettres-miroirs. Celle que nous publions aujourd'hui propose davantage : des lettres-bornes, des lettres qui jalonnent un itinéraire en précisant des lieux et des distances, des lettres qu'il faut lire non seulement entre les lignes dont elles sont tissées, mais dans les intervalles qui les séparent, des lettres irradiantes autant par tout ce qu'elles disent que par tout ce qu'elles taisent, des lettres enfin où s'élabore, grâce à un jeu constant d'oppositions et d'attirances, de réticence et de franchise, la progression divergente de deux consciences vers ce que chacune croit être son progrès" Robert Mallet.
"Sans doute est-ce la première fois que deux écrivains - et qui plus est, deux écrivains d'une renommée prestigieuse - acceptent de laisser publier de leur vivant la correspondance qu'ils ont échangée. Certains esprits critiques pourraient voir dans ce consentement la manifestation d'un désir où la pudeur ne trouverait pas son compte en face d'une impatience mal contenue. Mais ce serait expliquer à la légère les mobiles d'une grave confrontation qui, pour être comprise, exige tout le poids de la plus objective attention.
Il ne s'agit pas seulement ici d'un long échange de missives au cours duquel les correspondants ont reflété les fluctuations de leur vie matérielle et morale. Toutes les correspondances nous offrent des lettres-miroirs. Celle que nous publions aujourd'hui propose davantage : des lettres-bornes, des lettres qui jalonnent un itinéraire en précisant des lieux et des distances, des lettres qu'il faut lire non seulement entre les lignes dont elles sont tissées, mais dans les intervalles qui les séparent, des lettres irradiantes autant par tout ce qu'elles disent que par tout ce qu'elles taisent, des lettres enfin où s'élabore, grâce à un jeu constant d'oppositions et d'attirances, de réticence et de franchise, la progression divergente de deux consciences vers ce que chacune croit être son progrès" Robert Mallet.
Il ne s'agit pas seulement ici d'un long échange de missives au cours duquel les correspondants ont reflété les fluctuations de leur vie matérielle et morale. Toutes les correspondances nous offrent des lettres-miroirs. Celle que nous publions aujourd'hui propose davantage : des lettres-bornes, des lettres qui jalonnent un itinéraire en précisant des lieux et des distances, des lettres qu'il faut lire non seulement entre les lignes dont elles sont tissées, mais dans les intervalles qui les séparent, des lettres irradiantes autant par tout ce qu'elles disent que par tout ce qu'elles taisent, des lettres enfin où s'élabore, grâce à un jeu constant d'oppositions et d'attirances, de réticence et de franchise, la progression divergente de deux consciences vers ce que chacune croit être son progrès" Robert Mallet.