Coopérer en droit international des cours d'eau transfrontaliers. Etat du droit et étude du cas chinois
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- Nombre de pages412
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.64 kg
- Dimensions15,6 cm × 23,9 cm × 2,4 cm
- ISBN978-2-343-20561-8
- EAN9782343205618
- Date de parution23/09/2020
- CollectionLogiques juridiques
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
La plupart des cours d'eau transfrontaliers de la Chine prennent leur source en Chine. La Chine est sans doute le plus important Etat "d'amont" en voie de développement du monde. On prétend généralement que ce pays, profitant de sa position géohydrologique avantageuse, adopte une stratégie unilatérale dans ses projets hydrauliques. Néanmoins, rares sont les auteurs qui ont examiné en profondeur les pratiques de la Chine dans les coopérations hydriques bilatérales et multilatérales ainsi que sa perspective du droit international des cours d'eau transfrontaliers ; plus rares encore sont les recherches qui visent à explorer les raisons derrière ses choix de modèles de coopération.
Cet ouvrage étudie de façon approfondie et systématique les pratiques de la Chine dans les coopérations hydriques bilatérales et multilatérales, en exposant sa vision du droit international, surtout en matière de cours d'eau transfrontaliers. Il propose une perspective chinoise ainsi qu'une approche plus explicative que descriptive. A partir de l'exemple chinois, un nouvel éclairage est jeté sur un concept important, essentiel et complexe du droit international, à savoir l'obligation générale de coopérer.
Cet ouvrage étudie de façon approfondie et systématique les pratiques de la Chine dans les coopérations hydriques bilatérales et multilatérales, en exposant sa vision du droit international, surtout en matière de cours d'eau transfrontaliers. Il propose une perspective chinoise ainsi qu'une approche plus explicative que descriptive. A partir de l'exemple chinois, un nouvel éclairage est jeté sur un concept important, essentiel et complexe du droit international, à savoir l'obligation générale de coopérer.
La plupart des cours d'eau transfrontaliers de la Chine prennent leur source en Chine. La Chine est sans doute le plus important Etat "d'amont" en voie de développement du monde. On prétend généralement que ce pays, profitant de sa position géohydrologique avantageuse, adopte une stratégie unilatérale dans ses projets hydrauliques. Néanmoins, rares sont les auteurs qui ont examiné en profondeur les pratiques de la Chine dans les coopérations hydriques bilatérales et multilatérales ainsi que sa perspective du droit international des cours d'eau transfrontaliers ; plus rares encore sont les recherches qui visent à explorer les raisons derrière ses choix de modèles de coopération.
Cet ouvrage étudie de façon approfondie et systématique les pratiques de la Chine dans les coopérations hydriques bilatérales et multilatérales, en exposant sa vision du droit international, surtout en matière de cours d'eau transfrontaliers. Il propose une perspective chinoise ainsi qu'une approche plus explicative que descriptive. A partir de l'exemple chinois, un nouvel éclairage est jeté sur un concept important, essentiel et complexe du droit international, à savoir l'obligation générale de coopérer.
Cet ouvrage étudie de façon approfondie et systématique les pratiques de la Chine dans les coopérations hydriques bilatérales et multilatérales, en exposant sa vision du droit international, surtout en matière de cours d'eau transfrontaliers. Il propose une perspective chinoise ainsi qu'une approche plus explicative que descriptive. A partir de l'exemple chinois, un nouvel éclairage est jeté sur un concept important, essentiel et complexe du droit international, à savoir l'obligation générale de coopérer.


