Contribution à l'histoire de la CNT espagnole en exil - Grand Format

José Berruezo

Jeanine Halvey

(Traducteur)

,

Violette Marcos

(Traducteur)

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Ce récit porte essentiellement sur le témoignage de José Berruezo, militant engagé dès la sortie des camps d'internement en 1939, dans l'impérieuse... Lire la suite
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Résumé

Ce récit porte essentiellement sur le témoignage de José Berruezo, militant engagé dès la sortie des camps d'internement en 1939, dans l'impérieuse nécessité de la reconstruction de la CNT. A la fois témoin et acteur des événements après la guerre civile et pendant la seconde guerre mondiale, il nous offre dans son livre un précieux et authentique témoignage sur la difficile renaissance de la CNT espagnole en exil.
Ces pages relatent l'histoire d'hommes qui coordonnent leurs efforts avec la Résistance française dans la lutte contre l'envahisseur fasciste, s'organisent en douze régions, publient circulaires et journal clandestin et permettent ainsi le retour de la CNT à la Libération.

Caractéristiques

  • Date de parution
    30/04/2021
  • Editeur
  • ISBN
    979-10-90530-21-8
  • EAN
    9791090530218
  • Format
    Grand Format
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    296 pages
  • Poids
    0.395 Kg
  • Dimensions
    15,0 cm × 21,0 cm × 1,5 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de José Berruezo

José Berruezo Silvente est né en 1895 dans la ville minière de Mazarron (province de Murcia). En 1912, il est emprisonné à Totana pour avoir peint sur les murs des slogans anachistes. En 1920, il s'établit à Santa Coloma de Gramaret où il participe à la fondation de l'Ateneo et devient secrétaire de la CNT. Pendant la révolution espagnole, il est responsable de la santé dans le comité révolutionnaire de Santa Coloma, et maire de cette commune de mai 1937 à 1939.
Exilé en France en janvier 1939, interné au camp de Bram puis envoyé dans le Cantal sur le chantier du barrage de l'Aigle où il va jouer un rôle important dans la reconstruction de la CNT. Il sera alors représentant de la zone occupée et secrétaire du sous comité national de la CNT en exil ; prônant la résistance de la CNT contre les nazis, il participe, su le barrage de l'Aigle, à la création d'un maquis exclusivement cénétiste.
Devenu la compagnie espagnole du bataillon Didier (FFI), ce maquis contribuera à la libération de la Pointe de Grave. Après la scission de la CNT en exil, en 1945, il participe à la tendance dite "collaborationniste" de la CNT et publie des articles dans son organe Espana Libre (Toulouse). José Berruezo Silvente est mot à Aix-en-Provence le 7 août 1990.

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