Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le plus grand hérétique du IIe siècle - dont le système s'explique moins comme le produit d'un paulinisme intégral que comme une des efflorescences...
Lire la suite
36,00 €
Neuf
Actuellement indisponible
Résumé
Le plus grand hérétique du IIe siècle - dont le système s'explique moins comme le produit d'un paulinisme intégral que comme une des efflorescences de la pensée gnostique - avait dressé, contre l'Eglise de la tradition judéo-chrétienne, une Eglise rivale qui se réclamait de la seule " nouveauté " néotestamentaire. Eglise florissante à Carthage même où, au début du IIIe siècle, Tertullien entreprend de réfuter sa principale thèse, celle de la nécessaire distinction entre un dieu créateur et juge (celui des juifs) et un " dieu inconnu ", " étranger au monde ", dieu de toute bonté qui s'est révélé en Jésus-Christ.
De cette entreprise est sorti un ouvrage méthodiquement construit en cinq livres, notre principale source pour l'étude de cette hérésie et, en même temps, une " mine pour la théologie, l'histoire, l'exégèse, les formes de la polémique chrétienne " (Labriolle).
Ecrit en 207-208, le livre I traite du dithéisme. Il établit l'unicité divine par une réflexion qui s'appuie sur la pensée philosophique comme sur le donné de la Révélation, et il montre l'inconsistance, l'inexistence d'un prétendu " dieu inconnu ", artisan du seul salut de l'homme. Vigueur et netteté pour conforter les vérités de la foi, art des formules éclairantes, virtuosité polémique sont également remarquables dans ce premier volet.
Professeur émérite de langue et de littérature latines à Nice, René BRAUN a consacré l'essentiel de sa recherche à la patristique africaine, et notamment à Tertullien dont il a étudié, en particulier, le vocabulaire théologique.