Contradictions médicales et autres bizarreries affectant le droit, la santé et la vie

Par : Danielle Moyse
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  • Nombre de pages264
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.3 kg
  • Dimensions13,4 cm × 20,1 cm × 1,5 cm
  • ISBN979-10-97497-72-9
  • EAN9791097497729
  • Date de parution07/05/2025
  • CollectionChoses humaines
  • ÉditeurConférence

Résumé

Ce volume recueille quinze ans de chroniques de bio-éthique" publiées par l'auteur dans le journal La Croix. Il procède d'un étonnement de fond devant ce qu'il est convenu d'appeler ales avancées de la médecine" : ne révèlent-elles pas le plus souvent l'égarement d'une société qui rend le droit, cette pierre milliaire de la vie humaine en son souci de justice, disponible à tous les caprices individuels, et serf de l'idole technique que devient la médecine en l'absence d'une vision cohérente de ses propres fins ? La médecine elle-même, fascinée par ses instruments et ses possibilités de prétendue maîtrise du "vivant", n'avance-t-elle pas en réalité de contradiction en contradiction ? Fin sorte que le comble de sa "rationalité" technique rejoint l'irrationalité même qui marque la souveraineté aveugle du désir individuel soumettant la loi aux caprices orchestrés de l'opinion.
Ajoutons à cela une vision gestionnaire de la santé, et c'est la vie elle-même que la médecine risque de menacer en ses "avancées" les plus "audacieuses". Ainsi en va-t-il de maints domaines explorés par ces chroniques - partout où technique et opinion, loin de les seconder, défigurent droit et démocratie.
Ce volume recueille quinze ans de chroniques de bio-éthique" publiées par l'auteur dans le journal La Croix. Il procède d'un étonnement de fond devant ce qu'il est convenu d'appeler ales avancées de la médecine" : ne révèlent-elles pas le plus souvent l'égarement d'une société qui rend le droit, cette pierre milliaire de la vie humaine en son souci de justice, disponible à tous les caprices individuels, et serf de l'idole technique que devient la médecine en l'absence d'une vision cohérente de ses propres fins ? La médecine elle-même, fascinée par ses instruments et ses possibilités de prétendue maîtrise du "vivant", n'avance-t-elle pas en réalité de contradiction en contradiction ? Fin sorte que le comble de sa "rationalité" technique rejoint l'irrationalité même qui marque la souveraineté aveugle du désir individuel soumettant la loi aux caprices orchestrés de l'opinion.
Ajoutons à cela une vision gestionnaire de la santé, et c'est la vie elle-même que la médecine risque de menacer en ses "avancées" les plus "audacieuses". Ainsi en va-t-il de maints domaines explorés par ces chroniques - partout où technique et opinion, loin de les seconder, défigurent droit et démocratie.