Continue à creuser, au bout c'est l'Amérique

Par : Kou Cao

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages151
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.17 kg
  • Dimensions12,0 cm × 18,5 cm × 1,4 cm
  • ISBN978-2-07-014452-5
  • EAN9782070144525
  • Date de parution13/11/2015
  • CollectionBleu de chine
  • ÉditeurGallimard
  • TraducteurBrigitte Duzan
  • TraducteurXiaoqiu Zhang

Résumé

Parmi les écrivains de sa génération, Cao Kou fait figure de cas particulier. L'univers qui forme le cadre de ses nouvelles est en effet caractérisé par l'ennui sans échappatoire de vies désespérément sans histoires, qu'il excelle à rendre dans un style très personnel, construit sur le principe de l'association d'idées. Ses récits apparaissent ainsi comme une trame de séquences imprévues, comme sous l'effet du hasard.
C'est-à-dire comme dans la vie. Sur un ton froid où l'humour affleure à chaque ligne, il nous régale aussi de savoureux détails de satire sociale. C'est notamment le cas dans "Zhao Qinghe", récit à l'architecture complexe dont les saynètes en apparence incongrues finissent par dresser un tableau désopilant d'une jeunesse solitaire.
Parmi les écrivains de sa génération, Cao Kou fait figure de cas particulier. L'univers qui forme le cadre de ses nouvelles est en effet caractérisé par l'ennui sans échappatoire de vies désespérément sans histoires, qu'il excelle à rendre dans un style très personnel, construit sur le principe de l'association d'idées. Ses récits apparaissent ainsi comme une trame de séquences imprévues, comme sous l'effet du hasard.
C'est-à-dire comme dans la vie. Sur un ton froid où l'humour affleure à chaque ligne, il nous régale aussi de savoureux détails de satire sociale. C'est notamment le cas dans "Zhao Qinghe", récit à l'architecture complexe dont les saynètes en apparence incongrues finissent par dresser un tableau désopilant d'une jeunesse solitaire.