Ces contes licencieux, rassemblés et traduits de l'arabe (Algérie) par Nora Aceval, ont la saveur d'une culture authentiquement populaire ; leur parole est subtile, et dit plus qu'elle ne dit : sous la grivoiserie émerge une critique sociale n'épargnant ni l'ordre politique, ni l'ordre religieux.
Ces contes licencieux, rassemblés et traduits de l'arabe (Algérie) par Nora Aceval, ont la saveur d'une culture authentiquement populaire ; leur parole est subtile, et dit plus qu'elle ne dit : sous la grivoiserie émerge une critique sociale n'épargnant ni l'ordre politique, ni l'ordre religieux.