Contes des peuples de la Chine
2e édition
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- Nombre de pages285
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.385 kg
- Dimensions12,5 cm × 22,5 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-910272-78-4
- EAN9782910272784
- Date de parution01/08/2012
- CollectionAux origines du monde
- ÉditeurFlies France
- IllustrateurSusanne Strassmann
Résumé
Jadis vivait un khan que tout le monde appelait le khan volant. Durant sa jeunesse, il s'était enamouré d'une jeune fille très belle, une fée, ressemblant à la lune. Ses yeux brillaient comme l'or. Le khan la chercha dans le monde entier sans parvenir à la trouver. D'un magicien, il apprit de voler en l'air. Il chercha sa beauté dans le ciel durant trente ans, en vain. En désespoir de cause, il la fit dessiner et peindre selon ses indications.
Il cacha le tableau dans une salle du trésor de son palais. Il se dit : "Pour moi, cela suffit. Me voilà d'âge mûr. Il est temps que je fonde un foyer". Il épousa une autre femme, qui lui donna un enfant du nom de Jiangde Bator ("le preux"). Ayant atteint quinze-seize ans, ce garçon devint un hardi gars. Sans pareil ! Un jour, il eut un éclair. S'il fouillait les salles du trésor de son père ? Il se mit à examiner les quarante salles.
Il en fouilla trente-neuf. Mais pour la quarantième, pas de clef. Il fouilla, tortura la serrure en vain. Il appela sa mère, la supplia de lui trouver la clef.
Il cacha le tableau dans une salle du trésor de son palais. Il se dit : "Pour moi, cela suffit. Me voilà d'âge mûr. Il est temps que je fonde un foyer". Il épousa une autre femme, qui lui donna un enfant du nom de Jiangde Bator ("le preux"). Ayant atteint quinze-seize ans, ce garçon devint un hardi gars. Sans pareil ! Un jour, il eut un éclair. S'il fouillait les salles du trésor de son père ? Il se mit à examiner les quarante salles.
Il en fouilla trente-neuf. Mais pour la quarantième, pas de clef. Il fouilla, tortura la serrure en vain. Il appela sa mère, la supplia de lui trouver la clef.
Jadis vivait un khan que tout le monde appelait le khan volant. Durant sa jeunesse, il s'était enamouré d'une jeune fille très belle, une fée, ressemblant à la lune. Ses yeux brillaient comme l'or. Le khan la chercha dans le monde entier sans parvenir à la trouver. D'un magicien, il apprit de voler en l'air. Il chercha sa beauté dans le ciel durant trente ans, en vain. En désespoir de cause, il la fit dessiner et peindre selon ses indications.
Il cacha le tableau dans une salle du trésor de son palais. Il se dit : "Pour moi, cela suffit. Me voilà d'âge mûr. Il est temps que je fonde un foyer". Il épousa une autre femme, qui lui donna un enfant du nom de Jiangde Bator ("le preux"). Ayant atteint quinze-seize ans, ce garçon devint un hardi gars. Sans pareil ! Un jour, il eut un éclair. S'il fouillait les salles du trésor de son père ? Il se mit à examiner les quarante salles.
Il en fouilla trente-neuf. Mais pour la quarantième, pas de clef. Il fouilla, tortura la serrure en vain. Il appela sa mère, la supplia de lui trouver la clef.
Il cacha le tableau dans une salle du trésor de son palais. Il se dit : "Pour moi, cela suffit. Me voilà d'âge mûr. Il est temps que je fonde un foyer". Il épousa une autre femme, qui lui donna un enfant du nom de Jiangde Bator ("le preux"). Ayant atteint quinze-seize ans, ce garçon devint un hardi gars. Sans pareil ! Un jour, il eut un éclair. S'il fouillait les salles du trésor de son père ? Il se mit à examiner les quarante salles.
Il en fouilla trente-neuf. Mais pour la quarantième, pas de clef. Il fouilla, tortura la serrure en vain. Il appela sa mère, la supplia de lui trouver la clef.