et éloigne la commissaire en la chargeant d'une autre affaire, l'assassinat d'une peintre, Hortense Majera. Partouche va mener les deux enquêtes de front. La première, l'officieuse, avec l'aide de ses anciens collaborateurs, la conduit sur la piste d'un lupanar. La seconde, l'officielle, menée avec sa nouvelle équipe composée d''hommes de Pucheu'', lui fait découvrir l'univers de la peintre Majera, une femme de convictions, et son dernier commanditaire, un industriel aussi froid que retors. Politiquement en guerre contre les nouveaux usages du pouvoir, Régine Partouche tente de contrer sa hiérarchie grâce aux préceptes de L'Art de la guerre et aux conseils avisés de sa psychanalyste. Sera-t-elle de taille face à des adversaires de plus en plus clairement décomplexés ?","offers":{"@type":"Offer","priceCurrency":"EUR","price":18.3,"url":"/livres/conte-d-exploitation-9782742795123.html","availability":"https://schema.org/InStock"},"datePublished":"2011-02-02","isbn":"978-2-7427-9512-3","publisher":{"@type":"Organization","name":"Actes Sud"},"author":{"@type":"Person","name":"Dominique Sigaud","url":"/auteur/153635/dominique+sigaud"},"aggregateRating":{"@type":"AggregateRating","ratingValue":"4","ratingCount":"2"},"review":[{"@type":"Review","author":{"@type":"Person","name":"Ben Cuartero"},"reviewRating":{"@type":"Rating","ratingValue":"5"},"reviewBody":"Régine Partouche a deux problèmes à régler : le premier est le meurtre d'une artiste dans son atelier. Le deuxième, est aussi un cadavre, celui d'une prostituée retrouvée morte dans une poubelle devant la librairie de son mari. Se sentant prisonnière d'un système malsain, cette commissaire devra affronter ses démons et parvenir à garder la tête haute dans un monde essentiellement masculin, « macho » où la perversion est au coin de la rue et les rapports de forces monnaie courante...\n\"Art du récit, sens du dialogue, finesse et complexité des personnages...Dans ce Conte d'exploitation à l'humour grinçant, Dominique Sigaud conjugue tous ces talents pour faire de ce polar noir et corrosif sur notre société un petit précis de résistance.\" Le Monde des Livres.\n"},{"@type":"Review","author":{"@type":"Person","name":"Alex-Mot-à-Mots"},"reviewRating":{"@type":"Rating","ratingValue":"3"},"reviewBody":"Voilà un roman dans l'air du temps. Le personnage principal y fait de nombreuses réflexions et appartées sur la vie politique actuelle, l'officielle et la people.\r\n\r\nUn humour sympathique, parfois décapant, mais pas trop.\r\n\r\nDeux enquêtes rondement menées sans temps morts.\r\n\r\nMais je suis étonnée que l'auteure n'ait pas mis un pluriel dans son titre, car il est question de deux façons d'exploiter les gens. Un conte sur les exploitations possibles de l'homme par l'homme. Heureusement, Partouche connait son \"art de la guerre\" par coeur.\r\n\r\nL'image que je retiendrai :\r\n\r\nCelle du départ de l'enquête : un travesti retrouvé dans un conteneur à ordure avec ses cou... dans la bouche."}]}
Lundi matin, réveil difficile pour la commissaire Régine Partouche : la réunion avec Pucheu, son supérieur. lui donne envie de rester au lit... La nouvelle politique de management a causé des dégâts au sein des équipes. L'ambiance est au flicage... Elle avait d'ailleurs raison de redouter la réunion : Pucheu lui apprend qu'un travesti brésilien a été retrouvé mort devant la librairie de son mari. Pur hasard ou volonté de la viser ? Les faits lui rappellent une affaire résolue trois ans plus tôt, mais Pucheu confie l'enquête à l'inspecteur Darnando, le mouchard... et éloigne la commissaire en la chargeant d'une autre affaire, l'assassinat d'une peintre, Hortense Majera. Partouche va mener les deux enquêtes de front. La première, l'officieuse, avec l'aide de ses anciens collaborateurs, la conduit sur la piste d'un lupanar. La seconde, l'officielle, menée avec sa nouvelle équipe composée d''hommes de Pucheu'', lui fait découvrir l'univers de la peintre Majera, une femme de convictions, et son dernier commanditaire, un industriel aussi froid que retors. Politiquement en guerre contre les nouveaux usages du pouvoir, Régine Partouche tente de contrer sa hiérarchie grâce aux préceptes de L'Art de la guerre et aux conseils avisés de sa psychanalyste. Sera-t-elle de taille face à des adversaires de plus en plus clairement décomplexés ?
Lundi matin, réveil difficile pour la commissaire Régine Partouche : la réunion avec Pucheu, son supérieur. lui donne envie de rester au lit... La nouvelle politique de management a causé des dégâts au sein des équipes. L'ambiance est au flicage... Elle avait d'ailleurs raison de redouter la réunion : Pucheu lui apprend qu'un travesti brésilien a été retrouvé mort devant la librairie de son mari. Pur hasard ou volonté de la viser ? Les faits lui rappellent une affaire résolue trois ans plus tôt, mais Pucheu confie l'enquête à l'inspecteur Darnando, le mouchard... et éloigne la commissaire en la chargeant d'une autre affaire, l'assassinat d'une peintre, Hortense Majera. Partouche va mener les deux enquêtes de front. La première, l'officieuse, avec l'aide de ses anciens collaborateurs, la conduit sur la piste d'un lupanar. La seconde, l'officielle, menée avec sa nouvelle équipe composée d''hommes de Pucheu'', lui fait découvrir l'univers de la peintre Majera, une femme de convictions, et son dernier commanditaire, un industriel aussi froid que retors. Politiquement en guerre contre les nouveaux usages du pouvoir, Régine Partouche tente de contrer sa hiérarchie grâce aux préceptes de L'Art de la guerre et aux conseils avisés de sa psychanalyste. Sera-t-elle de taille face à des adversaires de plus en plus clairement décomplexés ?
Avis librairesCommentaires laissés par les libraires
Régine Partouche a deux problèmes à régler : le premier est le meurtre d'une artiste dans son atelier. Le deuxième, est aussi un cadavre, celui d'une prostituée retrouvée morte dans une poubelle devant la librairie de son mari. Se sentant prisonnière d'un système malsain, cette commissaire devra affronter ses démons et parvenir à garder la tête haute dans un monde essentiellement masculin, « macho » où la perversion est au coin de la rue et les rapports de forces monnaie courante...
"Art du récit, sens du dialogue, finesse et complexité des personnages...Dans ce Conte d'exploitation à l'humour grinçant, Dominique Sigaud conjugue tous ces talents pour faire de ce polar noir et corrosif sur notre société un petit précis de résistance." Le Monde des Livres.
Régine Partouche a deux problèmes à régler : le premier est le meurtre d'une artiste dans son atelier. Le deuxième, est aussi un cadavre, celui d'une prostituée retrouvée morte dans une poubelle devant la librairie de son mari. Se sentant prisonnière d'un système malsain, cette commissaire devra affronter ses démons et parvenir à garder la tête haute dans un monde essentiellement masculin, « macho » où la perversion est au coin de la rue et les rapports de forces monnaie courante...
"Art du récit, sens du dialogue, finesse et complexité des personnages...Dans ce Conte d'exploitation à l'humour grinçant, Dominique Sigaud conjugue tous ces talents pour faire de ce polar noir et corrosif sur notre société un petit précis de résistance." Le Monde des Livres.
Avis des lecteursCommentaires laissés par nos lecteurs
Voilà un roman dans l'air du temps. Le personnage principal y fait de nombreuses réflexions et appartées sur la vie politique actuelle, l'officielle et la people.
Un humour sympathique, parfois décapant, mais pas trop.
Deux enquêtes rondement menées sans temps morts.
Mais je suis étonnée que l'auteure n'ait pas mis un pluriel dans son titre, car il est question de deux façons d'exploiter les gens. Un conte sur les exploitations possibles de l'homme par l'homme. Heureusement, Partouche connait son "art de la guerre" par coeur.
L'image que je retiendrai :
Celle du départ de l'enquête : un travesti retrouvé dans un conteneur à ordure avec ses cou... dans la bouche.
Voilà un roman dans l'air du temps. Le personnage principal y fait de nombreuses réflexions et appartées sur la vie politique actuelle, l'officielle et la people.
Un humour sympathique, parfois décapant, mais pas trop.
Deux enquêtes rondement menées sans temps morts.
Mais je suis étonnée que l'auteure n'ait pas mis un pluriel dans son titre, car il est question de deux façons d'exploiter les gens. Un conte sur les exploitations possibles de l'homme par l'homme. Heureusement, Partouche connait son "art de la guerre" par coeur.
L'image que je retiendrai :
Celle du départ de l'enquête : un travesti retrouvé dans un conteneur à ordure avec ses cou... dans la bouche.