Construire l'éducation populaire. Naissance d'une politique de jeunesse (1958-1970)
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- Nombre de pages176
- PrésentationBroché
- Poids0.303 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-11-009843-6
- EAN9782110098436
- Date de parution26/11/2014
- ÉditeurDocumentation Française (La)
Résumé
Née dans les années 60 pour répondre aux besoins de la jeunesse issue du baby boom, la politique publique Jeunesse éducation populaire (JEP) offre un exemple de collaboration conflictuelle entre pouvoirs publics et associations, sous la forme d'une cogestion qui se veut démocratique. Cet ouvrage propose d'en retracer la genèse. Dans la France des années 60, l'éducation populaire se construit d'abord au travers des équipements socioculturels : foyers de jeunes travailleurs, maisons des jeunes et de la culture, colonies de vacances et auberges de jeunesse sortent de terre, alors que le pays connaît une forte croissance démographique et achève son urbanisation.
Mais au-delà des murs, il faut construire l'animation, c'est-à-dire faire vivre et gérer ces équipements, le plus souvent sous une forme associative. L'animation est pensée initialement comme un moyen de revivifier la démocratie dans les communes ou les quartiers. Avec les collectivités locales, les fédérations d'éducation populaire et les associations construisent pas à pas une politique d'animation fondée sur le principe de la cogestion entre les usagers et les pouvoirs publics.
Celle-ci ne va pas sans conflit, ce qui est un indice de vitalité démocratique. En fin, il faut développer les compétences des animateurs : ce sont les débuts de l'animation professionnelle. Pour financer les postes d'animateurs et leur formation, les fédérations d'éducation populaire, l'Etat et les collectivités locales créent un fonds de coopération appelé FONJEP, géré selon les principes de la cogestion.
Mais au-delà des murs, il faut construire l'animation, c'est-à-dire faire vivre et gérer ces équipements, le plus souvent sous une forme associative. L'animation est pensée initialement comme un moyen de revivifier la démocratie dans les communes ou les quartiers. Avec les collectivités locales, les fédérations d'éducation populaire et les associations construisent pas à pas une politique d'animation fondée sur le principe de la cogestion entre les usagers et les pouvoirs publics.
Celle-ci ne va pas sans conflit, ce qui est un indice de vitalité démocratique. En fin, il faut développer les compétences des animateurs : ce sont les débuts de l'animation professionnelle. Pour financer les postes d'animateurs et leur formation, les fédérations d'éducation populaire, l'Etat et les collectivités locales créent un fonds de coopération appelé FONJEP, géré selon les principes de la cogestion.
Née dans les années 60 pour répondre aux besoins de la jeunesse issue du baby boom, la politique publique Jeunesse éducation populaire (JEP) offre un exemple de collaboration conflictuelle entre pouvoirs publics et associations, sous la forme d'une cogestion qui se veut démocratique. Cet ouvrage propose d'en retracer la genèse. Dans la France des années 60, l'éducation populaire se construit d'abord au travers des équipements socioculturels : foyers de jeunes travailleurs, maisons des jeunes et de la culture, colonies de vacances et auberges de jeunesse sortent de terre, alors que le pays connaît une forte croissance démographique et achève son urbanisation.
Mais au-delà des murs, il faut construire l'animation, c'est-à-dire faire vivre et gérer ces équipements, le plus souvent sous une forme associative. L'animation est pensée initialement comme un moyen de revivifier la démocratie dans les communes ou les quartiers. Avec les collectivités locales, les fédérations d'éducation populaire et les associations construisent pas à pas une politique d'animation fondée sur le principe de la cogestion entre les usagers et les pouvoirs publics.
Celle-ci ne va pas sans conflit, ce qui est un indice de vitalité démocratique. En fin, il faut développer les compétences des animateurs : ce sont les débuts de l'animation professionnelle. Pour financer les postes d'animateurs et leur formation, les fédérations d'éducation populaire, l'Etat et les collectivités locales créent un fonds de coopération appelé FONJEP, géré selon les principes de la cogestion.
Mais au-delà des murs, il faut construire l'animation, c'est-à-dire faire vivre et gérer ces équipements, le plus souvent sous une forme associative. L'animation est pensée initialement comme un moyen de revivifier la démocratie dans les communes ou les quartiers. Avec les collectivités locales, les fédérations d'éducation populaire et les associations construisent pas à pas une politique d'animation fondée sur le principe de la cogestion entre les usagers et les pouvoirs publics.
Celle-ci ne va pas sans conflit, ce qui est un indice de vitalité démocratique. En fin, il faut développer les compétences des animateurs : ce sont les débuts de l'animation professionnelle. Pour financer les postes d'animateurs et leur formation, les fédérations d'éducation populaire, l'Etat et les collectivités locales créent un fonds de coopération appelé FONJEP, géré selon les principes de la cogestion.