
Constantinople. De Byzance à Istanbul
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- Nombre de pages400
- PrésentationRelié
- FormatBeau Livre
- Poids3.176 kg
- Dimensions28,3 cm × 32,0 cm × 3,9 cm
- ISBN978-2-8099-1222-7
- EAN9782809912227
- Date de parution25/09/2014
- ÉditeurPlace des Victoires
Résumé
Vient ensuite l'effondrement du monde antique, suivi de l'éclosion de la Constantinople médiévale avec son infinité d'églises et de monastères ornés de somptueuses mosaïques, ainsi que de précieux manuscrits enluminés et d'icônes aujourd'hui dispersés dans les plus grands musées du monde. Puis, l'art de Byzance finissant, apparaissent les prémices de la Renaissance à travers les mosaïques de l'Église de Saint-Sauveur in Khora.L'auteur s'attache ensuite à révéler les richesses de Bursa et Edirne, premières capitales ottomanes où les arts arabe, persan et turc opèrent leur synthèse avant de s'épanouir dans Constantinople, conquise en 1453 et rebaptisée Istanbul.
Enfin, est étudiée l'Istanbul ottomane qui doit se soumettre à une nouvelle géographie du pouvoir. Le palais de Topkapi est alors bâti face au Bosphore. Vient ensuite l'époque de la grandeur, celle, au XVIe siècle, de Soliman le Magnifique, quand la ville se dote de mosquées impériales rivalisant avec Sainte-Sophie. Arts décoratifs, tissus, céramiques, calligraphies et enluminures s'épanouissent alors.
Malgré la décadence qui suivra, le baroque et même l'éclectisme ottoman du XIXe siècle conserveront le merveilleux d'un art oriental qui s'étale sur les rives du Bosphore.
Vient ensuite l'effondrement du monde antique, suivi de l'éclosion de la Constantinople médiévale avec son infinité d'églises et de monastères ornés de somptueuses mosaïques, ainsi que de précieux manuscrits enluminés et d'icônes aujourd'hui dispersés dans les plus grands musées du monde. Puis, l'art de Byzance finissant, apparaissent les prémices de la Renaissance à travers les mosaïques de l'Église de Saint-Sauveur in Khora.L'auteur s'attache ensuite à révéler les richesses de Bursa et Edirne, premières capitales ottomanes où les arts arabe, persan et turc opèrent leur synthèse avant de s'épanouir dans Constantinople, conquise en 1453 et rebaptisée Istanbul.
Enfin, est étudiée l'Istanbul ottomane qui doit se soumettre à une nouvelle géographie du pouvoir. Le palais de Topkapi est alors bâti face au Bosphore. Vient ensuite l'époque de la grandeur, celle, au XVIe siècle, de Soliman le Magnifique, quand la ville se dote de mosquées impériales rivalisant avec Sainte-Sophie. Arts décoratifs, tissus, céramiques, calligraphies et enluminures s'épanouissent alors.
Malgré la décadence qui suivra, le baroque et même l'éclectisme ottoman du XIXe siècle conserveront le merveilleux d'un art oriental qui s'étale sur les rives du Bosphore.