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Constant toujours. Souvenirs d'un parachutiste en Indochine (1949-1954)
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- Nombre de pages178
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.315 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 0,0 cm
- ISBN978-2-914086-58-5
- EAN9782914086585
- Date de parution01/06/2024
- ÉditeurIndo Editions
- InterviewerEric Fornal
- InterviewerChristian Royer
- PréfacierPatrice Caille
Résumé
Le secret d’une bonne troupe, c’est son encadrement. Devant le déficit d’officiers au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, ce sont les sous-offs qui ont littéralement porté à bout de bras ces huit années de guerre sanglantes en Extrême-Orient. L’Indochine a été le creuset d’où sont sortis de nombreux sous-officiers d’élite, notamment au sein des troupes aéroportées qui ont largement contribué à tisser les fils rouges de la légende, au point de former une ‘‘?caste?’‘, un ordre même, avec ses traditions, ses coutumes et ses valeurs.
Parmi cette ‘‘?aristocratie des parachutistes?’‘ brille le nom de Pierre Flamen. Au cours d’un premier séjour de deux ans et demi au Pays Thaï où, seul européen à la tête d’un commando autochtone, il effectue de nombreuses missions de reconnaissance et d’infiltrations en jungle et en pleine zone Vietminh. Revenu en second séjour au sein du légendaire 6e Bataillon de Parachutistes Coloniaux du commandant Bigeard.
Dans les rangs du ‘‘?6?’‘, il participe aux 5 sauts opérationnels du bataillon. Le dernier, le 16?mars 1954 à Dien Bien Phu, à la tête d’une section vietnamienne. Blessé dans les derniers jours de la bataille, fait prisonnier le 7?mai, il s’évade à 4 reprises. Il sera libéré, quasi-mourant, parmi les tout derniers, fin septembre?1954… Dans cet entretien Pierre Flamen raconte ce que fut sa guerre nue - selon l’expression de Jean Lartéguy.
Si, comme l’écrivait Drieu La?Rochelle, ancien combattant de la Grande guerre, « Un chef est une récompense pour des hommes d’audace et de volonté », ceux qui ont servi sous les ordres de Pierre Flamen sont tous unanimes pour dire qu’il fut un grand professionnel au combat, un meneur d’hommes exceptionnel, faisant la guerre avec courage, intelligence et sans haine. Pierre Flamen reste un de nos derniers grand centurion…
Parmi cette ‘‘?aristocratie des parachutistes?’‘ brille le nom de Pierre Flamen. Au cours d’un premier séjour de deux ans et demi au Pays Thaï où, seul européen à la tête d’un commando autochtone, il effectue de nombreuses missions de reconnaissance et d’infiltrations en jungle et en pleine zone Vietminh. Revenu en second séjour au sein du légendaire 6e Bataillon de Parachutistes Coloniaux du commandant Bigeard.
Dans les rangs du ‘‘?6?’‘, il participe aux 5 sauts opérationnels du bataillon. Le dernier, le 16?mars 1954 à Dien Bien Phu, à la tête d’une section vietnamienne. Blessé dans les derniers jours de la bataille, fait prisonnier le 7?mai, il s’évade à 4 reprises. Il sera libéré, quasi-mourant, parmi les tout derniers, fin septembre?1954… Dans cet entretien Pierre Flamen raconte ce que fut sa guerre nue - selon l’expression de Jean Lartéguy.
Si, comme l’écrivait Drieu La?Rochelle, ancien combattant de la Grande guerre, « Un chef est une récompense pour des hommes d’audace et de volonté », ceux qui ont servi sous les ordres de Pierre Flamen sont tous unanimes pour dire qu’il fut un grand professionnel au combat, un meneur d’hommes exceptionnel, faisant la guerre avec courage, intelligence et sans haine. Pierre Flamen reste un de nos derniers grand centurion…
Le secret d’une bonne troupe, c’est son encadrement. Devant le déficit d’officiers au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, ce sont les sous-offs qui ont littéralement porté à bout de bras ces huit années de guerre sanglantes en Extrême-Orient. L’Indochine a été le creuset d’où sont sortis de nombreux sous-officiers d’élite, notamment au sein des troupes aéroportées qui ont largement contribué à tisser les fils rouges de la légende, au point de former une ‘‘?caste?’‘, un ordre même, avec ses traditions, ses coutumes et ses valeurs.
Parmi cette ‘‘?aristocratie des parachutistes?’‘ brille le nom de Pierre Flamen. Au cours d’un premier séjour de deux ans et demi au Pays Thaï où, seul européen à la tête d’un commando autochtone, il effectue de nombreuses missions de reconnaissance et d’infiltrations en jungle et en pleine zone Vietminh. Revenu en second séjour au sein du légendaire 6e Bataillon de Parachutistes Coloniaux du commandant Bigeard.
Dans les rangs du ‘‘?6?’‘, il participe aux 5 sauts opérationnels du bataillon. Le dernier, le 16?mars 1954 à Dien Bien Phu, à la tête d’une section vietnamienne. Blessé dans les derniers jours de la bataille, fait prisonnier le 7?mai, il s’évade à 4 reprises. Il sera libéré, quasi-mourant, parmi les tout derniers, fin septembre?1954… Dans cet entretien Pierre Flamen raconte ce que fut sa guerre nue - selon l’expression de Jean Lartéguy.
Si, comme l’écrivait Drieu La?Rochelle, ancien combattant de la Grande guerre, « Un chef est une récompense pour des hommes d’audace et de volonté », ceux qui ont servi sous les ordres de Pierre Flamen sont tous unanimes pour dire qu’il fut un grand professionnel au combat, un meneur d’hommes exceptionnel, faisant la guerre avec courage, intelligence et sans haine. Pierre Flamen reste un de nos derniers grand centurion…
Parmi cette ‘‘?aristocratie des parachutistes?’‘ brille le nom de Pierre Flamen. Au cours d’un premier séjour de deux ans et demi au Pays Thaï où, seul européen à la tête d’un commando autochtone, il effectue de nombreuses missions de reconnaissance et d’infiltrations en jungle et en pleine zone Vietminh. Revenu en second séjour au sein du légendaire 6e Bataillon de Parachutistes Coloniaux du commandant Bigeard.
Dans les rangs du ‘‘?6?’‘, il participe aux 5 sauts opérationnels du bataillon. Le dernier, le 16?mars 1954 à Dien Bien Phu, à la tête d’une section vietnamienne. Blessé dans les derniers jours de la bataille, fait prisonnier le 7?mai, il s’évade à 4 reprises. Il sera libéré, quasi-mourant, parmi les tout derniers, fin septembre?1954… Dans cet entretien Pierre Flamen raconte ce que fut sa guerre nue - selon l’expression de Jean Lartéguy.
Si, comme l’écrivait Drieu La?Rochelle, ancien combattant de la Grande guerre, « Un chef est une récompense pour des hommes d’audace et de volonté », ceux qui ont servi sous les ordres de Pierre Flamen sont tous unanimes pour dire qu’il fut un grand professionnel au combat, un meneur d’hommes exceptionnel, faisant la guerre avec courage, intelligence et sans haine. Pierre Flamen reste un de nos derniers grand centurion…