Consentir à mourir. Médecin-patients, instants de vérité en fin de vie
Par :Formats :
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages208
- PrésentationBroché
- Poids0.244 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-8100-0637-3
- EAN9782810006373
- Date de parution15/04/2015
- ÉditeurToucan (Editions du)
Résumé
«En écrivant ces chroniques, je souhaite être votre porte-parole, vous mes malades qui m'avez tant appris de la vie par votre mort. Je ne veux rien oublier de vos visages tour à tour douloureux, confiants, préoccupés, espiègles parfois. Je ne veux rien oublier de vos angoisses, de vos larmes, de vos confidences, de vos attachements, de vos rêves, de vos projets, de vos arrachements, de votre lucidité, de votre dignité, de vos sursauts d'espoir contre toute espérance.
Je ne veux oublier aucun de ces moments, qu'ils aient été bons ou difficiles, ces moments intenses, d'une gravité extrême et qui me faisaient apprécier la vie plus légère qui régnait en dehors de l'hôpital... La maladie incurable et la fin de vie constituent un sujet malheureusement tabou. Ce livre voudrait inviter le lecteur à dépasser ses peurs, à pousser la porte du service pour partager mon quotidien et découvrir que malgré la dégradation de son état et sa dépendance, tout être humain malade est vivant et digne d'être aimé jusqu'à son dernier souffle.
Et que la mort peut parfois être apprivoisée, acceptée et même, vécue dans l'apaisement.»
Je ne veux oublier aucun de ces moments, qu'ils aient été bons ou difficiles, ces moments intenses, d'une gravité extrême et qui me faisaient apprécier la vie plus légère qui régnait en dehors de l'hôpital... La maladie incurable et la fin de vie constituent un sujet malheureusement tabou. Ce livre voudrait inviter le lecteur à dépasser ses peurs, à pousser la porte du service pour partager mon quotidien et découvrir que malgré la dégradation de son état et sa dépendance, tout être humain malade est vivant et digne d'être aimé jusqu'à son dernier souffle.
Et que la mort peut parfois être apprivoisée, acceptée et même, vécue dans l'apaisement.»
«En écrivant ces chroniques, je souhaite être votre porte-parole, vous mes malades qui m'avez tant appris de la vie par votre mort. Je ne veux rien oublier de vos visages tour à tour douloureux, confiants, préoccupés, espiègles parfois. Je ne veux rien oublier de vos angoisses, de vos larmes, de vos confidences, de vos attachements, de vos rêves, de vos projets, de vos arrachements, de votre lucidité, de votre dignité, de vos sursauts d'espoir contre toute espérance.
Je ne veux oublier aucun de ces moments, qu'ils aient été bons ou difficiles, ces moments intenses, d'une gravité extrême et qui me faisaient apprécier la vie plus légère qui régnait en dehors de l'hôpital... La maladie incurable et la fin de vie constituent un sujet malheureusement tabou. Ce livre voudrait inviter le lecteur à dépasser ses peurs, à pousser la porte du service pour partager mon quotidien et découvrir que malgré la dégradation de son état et sa dépendance, tout être humain malade est vivant et digne d'être aimé jusqu'à son dernier souffle.
Et que la mort peut parfois être apprivoisée, acceptée et même, vécue dans l'apaisement.»
Je ne veux oublier aucun de ces moments, qu'ils aient été bons ou difficiles, ces moments intenses, d'une gravité extrême et qui me faisaient apprécier la vie plus légère qui régnait en dehors de l'hôpital... La maladie incurable et la fin de vie constituent un sujet malheureusement tabou. Ce livre voudrait inviter le lecteur à dépasser ses peurs, à pousser la porte du service pour partager mon quotidien et découvrir que malgré la dégradation de son état et sa dépendance, tout être humain malade est vivant et digne d'être aimé jusqu'à son dernier souffle.
Et que la mort peut parfois être apprivoisée, acceptée et même, vécue dans l'apaisement.»