Concerto pour guitare - edition bilingue
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages68
- Poids0.239 kg
- Dimensions22,8 cm × 30,5 cm × 0,8 cm
- ISBN979-0-043-10380-6
- EAN9790043103806
- Date de parution10/10/2022
- CollectionGUITARE ET PIANO
- ÉditeurBILLAUDOT
Résumé
Ce sont des déambulations nocturnes dans des usines désaffectées de pays de l'Est d'où émanaient des réminiscences de musiques techno dans un décor de street art qui ont donné naissance à l'univers de cette pièce. On y retrouve, stylisées, des pulsations obstinées et synthétiques, des nappes de textures plus linéaires, des sons à l'envers qui s'entrechoquent dans l'espace sonore, des motifs répétitifs aux métriques différentes superposées.
Dans une seconde partie de l'oeuvre, ce climat se dissipe pour laisser place à une sorte de ballade désenchantée dont la guitare égraine les notes avec simplicité et nonchalance sur un cantus de basse lent et profond ... A plusieurs reprises la guitare semble vouloir s'échapper de cette ambiance et impose des parties rythmiquement plus contrastées jusqu'à un dernier retour, cette fois plus lyrique, de mélodie initiale.
Après une brève cadence plus évanescente, un moteur rythmique se remet en marche très progressivement et emmène la pièce vers un final où se mêlent les univers des deux parties précédentes. Thierry ESCAICH
Dans une seconde partie de l'oeuvre, ce climat se dissipe pour laisser place à une sorte de ballade désenchantée dont la guitare égraine les notes avec simplicité et nonchalance sur un cantus de basse lent et profond ... A plusieurs reprises la guitare semble vouloir s'échapper de cette ambiance et impose des parties rythmiquement plus contrastées jusqu'à un dernier retour, cette fois plus lyrique, de mélodie initiale.
Après une brève cadence plus évanescente, un moteur rythmique se remet en marche très progressivement et emmène la pièce vers un final où se mêlent les univers des deux parties précédentes. Thierry ESCAICH
Ce sont des déambulations nocturnes dans des usines désaffectées de pays de l'Est d'où émanaient des réminiscences de musiques techno dans un décor de street art qui ont donné naissance à l'univers de cette pièce. On y retrouve, stylisées, des pulsations obstinées et synthétiques, des nappes de textures plus linéaires, des sons à l'envers qui s'entrechoquent dans l'espace sonore, des motifs répétitifs aux métriques différentes superposées.
Dans une seconde partie de l'oeuvre, ce climat se dissipe pour laisser place à une sorte de ballade désenchantée dont la guitare égraine les notes avec simplicité et nonchalance sur un cantus de basse lent et profond ... A plusieurs reprises la guitare semble vouloir s'échapper de cette ambiance et impose des parties rythmiquement plus contrastées jusqu'à un dernier retour, cette fois plus lyrique, de mélodie initiale.
Après une brève cadence plus évanescente, un moteur rythmique se remet en marche très progressivement et emmène la pièce vers un final où se mêlent les univers des deux parties précédentes. Thierry ESCAICH
Dans une seconde partie de l'oeuvre, ce climat se dissipe pour laisser place à une sorte de ballade désenchantée dont la guitare égraine les notes avec simplicité et nonchalance sur un cantus de basse lent et profond ... A plusieurs reprises la guitare semble vouloir s'échapper de cette ambiance et impose des parties rythmiquement plus contrastées jusqu'à un dernier retour, cette fois plus lyrique, de mélodie initiale.
Après une brève cadence plus évanescente, un moteur rythmique se remet en marche très progressivement et emmène la pièce vers un final où se mêlent les univers des deux parties précédentes. Thierry ESCAICH