Quand tu valdingues enfant, des graviers quelquefois restent pris dans la plaie, qui deviennent un peu toi. (...) Quand tu valdingues après, ce sont de simples trous, éclats de vide aux genoux : le rien par où tout coule et l'absence et les morts (on valdingue beaucoup).
Quand tu valdingues enfant, des graviers quelquefois restent pris dans la plaie, qui deviennent un peu toi. (...) Quand tu valdingues après, ce sont de simples trous, éclats de vide aux genoux : le rien par où tout coule et l'absence et les morts (on valdingue beaucoup).