Communiquer la ville. Tracer l'urbain

Par : Hafida Boulekbache-Mazouz

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  • Nombre de pages164
  • PrésentationBroché
  • Poids0.205 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-7574-0782-0
  • EAN9782757407820
  • Date de parution28/11/2014
  • CollectionLes savoirs mieux
  • ÉditeurPU du Septentrion

Résumé

L'architecture est une forme d'expression, à la fois graphique (dessins, plans, tracés...) et non graphique (symbole, usage, culture, identité...). L'étude de la genèse des oeuvres architecturales à travers l'analyse des traces qui ont servi à leur élaboration suppose que nous considérions l'architecture comme un système de traces, donc comme une écriture. Lors du processus d'écriture architecturale et grâce à la succession de desseins induits, les traces-artefacts, élaborées et dessinées, sont des entités signifiantes.
Ces formes représentationnelles produites y participent à la fois, comme signe dans le processus de conception qu'on assimile à une sémiose projective, où le signe produit l'objet, mais également comme signe assimilable à une sémiose informative, où le signe fournit des indications sur l'objet qui est sa cause. Fondé sur l'ontologie de la trace d'abord, sur une démarche complexe et multidimensionnelle ensuite, l'ouvrage analyse les archives, les documents de genèse ; véhicules de la pensée créatrice.
L'étude des "traces" de la création exige une posture épistémologique plurielle qui relève du constructivisme, de la systémique et de la complexité et permet de développer une théorie originale du processus communicationnel de l'urbain et sa communication.
L'architecture est une forme d'expression, à la fois graphique (dessins, plans, tracés...) et non graphique (symbole, usage, culture, identité...). L'étude de la genèse des oeuvres architecturales à travers l'analyse des traces qui ont servi à leur élaboration suppose que nous considérions l'architecture comme un système de traces, donc comme une écriture. Lors du processus d'écriture architecturale et grâce à la succession de desseins induits, les traces-artefacts, élaborées et dessinées, sont des entités signifiantes.
Ces formes représentationnelles produites y participent à la fois, comme signe dans le processus de conception qu'on assimile à une sémiose projective, où le signe produit l'objet, mais également comme signe assimilable à une sémiose informative, où le signe fournit des indications sur l'objet qui est sa cause. Fondé sur l'ontologie de la trace d'abord, sur une démarche complexe et multidimensionnelle ensuite, l'ouvrage analyse les archives, les documents de genèse ; véhicules de la pensée créatrice.
L'étude des "traces" de la création exige une posture épistémologique plurielle qui relève du constructivisme, de la systémique et de la complexité et permet de développer une théorie originale du processus communicationnel de l'urbain et sa communication.