Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Cette étude a l'ambition d'aborder Le sonnet en x comme un objet esthétique en soi. La méthode adoptée repose sur la conviction que le poème est...
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Résumé
Cette étude a l'ambition d'aborder Le sonnet en x comme un objet esthétique en soi. La méthode adoptée repose sur la conviction que le poème est structuré suivant certains schèmes, plus ou moins décelables en tant que tels, sur lesquels se greffe un réseau signifiant interdépendant, d'où dépendra la lecture systématique que l'auteur propose ici. L'abstraction du seul mot "ptyx" dont l'intervention ne répond, en apparence, qu'à l'exigence formelle du son, impose d'emblée l'évidence schématique, ou canonique, car il commande une grande part de l'existence même de l'œuvre. Riche de sa seule syllabe, de sa seule lettre ultime, base phonique majeure du poème, il conduit le sens comme le lecteur à une sorte de réduction scripturaire primordiale. Du sens au graphisme pur d'une lettre se consigne ici la totalité d'une dimension schématique. Posé tel, un engagement initial de cette valeur commande forcément de considérer que tout à sa suite, mots, syllabes, options prosodiques, images, références symboliques, jeux typographiques, répond à la même exigence. Celle d'un projet énigmatique, éminemment précis. L'auteur, pour la première fois, a visé une critique totale qui consigne l'allégorie poétique face à l'exposition de sa singularité matérielle. Pour concevoir comment la conception générale de l'œuvre (son exigence emblématique et l'influence notoire de Poe, négligée jusqu'alors) s'unissait à une prosodie unique, parallèlement, cette étude dégage le sens profond du projet en le conciliant à l'indispensable corollaire d'une lecture linéaire, vers après vers, mot après mot. Le résultat bouleverse l'approche coutumière que l'on avait du Sonnet en x et réouvre le débat sur les enjeux fondamentaux de l'esthétique mallarméenne.