Commentaire au Timée de Platon. 2 volumes
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- Nombre de pages944
- PrésentationPack
- Poids1.505 kg
- Dimensions24,0 cm × 16,0 cm × 5,8 cm
- ISBN978-2-7116-2264-1
- EAN9782711622641
- Date de parution12/12/2011
- CollectionHistoire Doctrines Antiquité
- ÉditeurVrin
Résumé
A la fin du IVe siècle, un certain Calcidius, qui reste encore inconnu, a traduit et commenté les pages du Timée de Platon concernant la fabrication de l'âme et du corps du monde et de l'homme. Dans ce vaste ensemble de 355 chapitres, un premier tiers offre une exégèse centrée sur les sciences de l'époque, le reste présentant une allure plus philosophique. Etonnant recueil - unique dans toute la littérature latine - de théories scientifiques autrement inconnues, le commentaire de Calcidius occupe de surcroît une place centrale dans la transmission des théories philosophiques de l'Antiquité au Moyen Age et à la Renaissance.
Ce fut, pour tout le Moyen âge occidental, le seul moyen, avec les traductions de Cicéron, d'avoir un accès en latin à une interprétation médio-platonicienne du Timée de Platon, le seul récit païen pouvant faire concurrence à celui de la Genèse. Les quelques deux cents copies - dont l'une a été annotée de la main même de Pétrarque (Paris, BnF 6280) et une autre de celle de Marsile Ficin en 1454 (Milan, Ambr.
S. 14, Sup.) - témoignent de l'intérêt durable suscité par ce commentaire, de l'influence profonde que cette oeuvre exerça sur la construction du platonisme médiéval et de son usage comme clé herméneutique dans l'exégèse biblique. On comprendra que la traduction en français de ce document exceptionnel constitue un événement considérable.
Ce fut, pour tout le Moyen âge occidental, le seul moyen, avec les traductions de Cicéron, d'avoir un accès en latin à une interprétation médio-platonicienne du Timée de Platon, le seul récit païen pouvant faire concurrence à celui de la Genèse. Les quelques deux cents copies - dont l'une a été annotée de la main même de Pétrarque (Paris, BnF 6280) et une autre de celle de Marsile Ficin en 1454 (Milan, Ambr.
S. 14, Sup.) - témoignent de l'intérêt durable suscité par ce commentaire, de l'influence profonde que cette oeuvre exerça sur la construction du platonisme médiéval et de son usage comme clé herméneutique dans l'exégèse biblique. On comprendra que la traduction en français de ce document exceptionnel constitue un événement considérable.
A la fin du IVe siècle, un certain Calcidius, qui reste encore inconnu, a traduit et commenté les pages du Timée de Platon concernant la fabrication de l'âme et du corps du monde et de l'homme. Dans ce vaste ensemble de 355 chapitres, un premier tiers offre une exégèse centrée sur les sciences de l'époque, le reste présentant une allure plus philosophique. Etonnant recueil - unique dans toute la littérature latine - de théories scientifiques autrement inconnues, le commentaire de Calcidius occupe de surcroît une place centrale dans la transmission des théories philosophiques de l'Antiquité au Moyen Age et à la Renaissance.
Ce fut, pour tout le Moyen âge occidental, le seul moyen, avec les traductions de Cicéron, d'avoir un accès en latin à une interprétation médio-platonicienne du Timée de Platon, le seul récit païen pouvant faire concurrence à celui de la Genèse. Les quelques deux cents copies - dont l'une a été annotée de la main même de Pétrarque (Paris, BnF 6280) et une autre de celle de Marsile Ficin en 1454 (Milan, Ambr.
S. 14, Sup.) - témoignent de l'intérêt durable suscité par ce commentaire, de l'influence profonde que cette oeuvre exerça sur la construction du platonisme médiéval et de son usage comme clé herméneutique dans l'exégèse biblique. On comprendra que la traduction en français de ce document exceptionnel constitue un événement considérable.
Ce fut, pour tout le Moyen âge occidental, le seul moyen, avec les traductions de Cicéron, d'avoir un accès en latin à une interprétation médio-platonicienne du Timée de Platon, le seul récit païen pouvant faire concurrence à celui de la Genèse. Les quelques deux cents copies - dont l'une a été annotée de la main même de Pétrarque (Paris, BnF 6280) et une autre de celle de Marsile Ficin en 1454 (Milan, Ambr.
S. 14, Sup.) - témoignent de l'intérêt durable suscité par ce commentaire, de l'influence profonde que cette oeuvre exerça sur la construction du platonisme médiéval et de son usage comme clé herméneutique dans l'exégèse biblique. On comprendra que la traduction en français de ce document exceptionnel constitue un événement considérable.