Comment payer la guerre. Un programme radical pour le chancelier de l'Echiquier
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- Nombre de pages111
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.15 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
- ISBN2-7384-4919-0
- EAN9782738449191
- Date de parution01/01/1997
- CollectionLogiques économiques
- ÉditeurL'Harmattan
- TraducteurJean-José Quilès
- TraducteurClaude Fils
Résumé
Comment payer la guerre (1940) est considéré comme la quatrième oeuvre maîtresse de John Maynard Keynes (1883-1946), à côté des Conséquences économiques de la paix (1919), après Le traité de la monnaie (1930) et la Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie (1936). Jusque-là inédit en français, ce petit livre est une large anticipation de la théorie et de la politique économique de cette deuxième moitié du XXe siècle.
Y apparaissent comme des perspectives nouvelles, l'analyse de l'inflation dans une économie qui se rapproche du plein-emploi, celle du rôle particulier qu'y joue l'épargne, la recherche des fondements précis et quantitatifs de la politique économique, une réflexion omniprésente sur les rapports qu'entretiennent les décisions macroéconomiques de l'Etat et la contrainte d'une justice sociale toujours placée au premier rang des préoccupations, les prémices d'un raisonnement en termes de Comptabilité nationale.
Le lecteur familier des écrits de Keynes y retrouve les qualités habituelles : son souci littéraire, sa volonté de tenir compte de tous les aspects et tous les points de vue, son goût particulièrement marqué pour le débat d'idées si ce n'est le pamphlet.
Y apparaissent comme des perspectives nouvelles, l'analyse de l'inflation dans une économie qui se rapproche du plein-emploi, celle du rôle particulier qu'y joue l'épargne, la recherche des fondements précis et quantitatifs de la politique économique, une réflexion omniprésente sur les rapports qu'entretiennent les décisions macroéconomiques de l'Etat et la contrainte d'une justice sociale toujours placée au premier rang des préoccupations, les prémices d'un raisonnement en termes de Comptabilité nationale.
Le lecteur familier des écrits de Keynes y retrouve les qualités habituelles : son souci littéraire, sa volonté de tenir compte de tous les aspects et tous les points de vue, son goût particulièrement marqué pour le débat d'idées si ce n'est le pamphlet.
Comment payer la guerre (1940) est considéré comme la quatrième oeuvre maîtresse de John Maynard Keynes (1883-1946), à côté des Conséquences économiques de la paix (1919), après Le traité de la monnaie (1930) et la Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie (1936). Jusque-là inédit en français, ce petit livre est une large anticipation de la théorie et de la politique économique de cette deuxième moitié du XXe siècle.
Y apparaissent comme des perspectives nouvelles, l'analyse de l'inflation dans une économie qui se rapproche du plein-emploi, celle du rôle particulier qu'y joue l'épargne, la recherche des fondements précis et quantitatifs de la politique économique, une réflexion omniprésente sur les rapports qu'entretiennent les décisions macroéconomiques de l'Etat et la contrainte d'une justice sociale toujours placée au premier rang des préoccupations, les prémices d'un raisonnement en termes de Comptabilité nationale.
Le lecteur familier des écrits de Keynes y retrouve les qualités habituelles : son souci littéraire, sa volonté de tenir compte de tous les aspects et tous les points de vue, son goût particulièrement marqué pour le débat d'idées si ce n'est le pamphlet.
Y apparaissent comme des perspectives nouvelles, l'analyse de l'inflation dans une économie qui se rapproche du plein-emploi, celle du rôle particulier qu'y joue l'épargne, la recherche des fondements précis et quantitatifs de la politique économique, une réflexion omniprésente sur les rapports qu'entretiennent les décisions macroéconomiques de l'Etat et la contrainte d'une justice sociale toujours placée au premier rang des préoccupations, les prémices d'un raisonnement en termes de Comptabilité nationale.
Le lecteur familier des écrits de Keynes y retrouve les qualités habituelles : son souci littéraire, sa volonté de tenir compte de tous les aspects et tous les points de vue, son goût particulièrement marqué pour le débat d'idées si ce n'est le pamphlet.