Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le philosophe étonne déjà l'homme du commun en voulant comprendre le monde dans lequel celui-ci se contente de vivre. Mais lorsqu'il prétend, de plus,...
Lire la suite
13,80 €
Neuf
Définitivement indisponible
En librairie
Résumé
Le philosophe étonne déjà l'homme du commun en voulant comprendre le monde dans lequel celui-ci se contente de vivre. Mais lorsqu'il prétend, de plus, qu'il faut tout comprendre ou comprendre le Tout, l'entendement borné est scandalisé et ne peut supporter cette prétention. C'est sur la contingence que porte le débat, ce qui est mais qui pourrait aussi bien ne pas être, et ne sera bientôt plus. Où est la raison d'être de ce qui n'est que raison ? Les exemples peuvent être facilement évoqués pour se moquer du philosophe, et le sens commun en reste là. L'un de ses porte-parole, dénommé Krug, a ainsi jeté un défi à la philosophie idéaliste : qu'on déduise donc la plume avec laquelle il écrit ! Hegel relève ici ce défi, et montre l'inanité des requêtes d'un certain "sens commun", qui n'est en fait que vulgaire. Mais, par-delà l'anecdote, s'annonce une pensée, qui, la seule sans doute, peut comprendre la contingence dans toute sa radicalité, faisant place en soi à l'Autre de soi même. Telle est la dialectique - celle de la contingence.
Jean-Marc Lardic, né en 1958, est agrégé de philosophie. Il se consacre depuis plusieurs années à l'étude de l'idéalisme allemand, et notamment de la logique hégelienne. Il enseigne actuellement à Bonn.