Sara Jaramillo Klinkert est née en 1979 à Medellín. Elle est journaliste à l'Universidad Pontificia Bolivariana et a travaillé pour les principaux médias colombiens. Elle est diplômée de l'Escuela de Escritores de Madrid. Comment j'ai tué mon père est son premier livre.
Comment j'ai tué mon père
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- Nombre de pages192
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.1 kg
- Dimensions10,8 cm × 17,8 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-266-33905-6
- EAN9782266339056
- Date de parution01/02/2024
- CollectionPocket
- ÉditeurPocket
- TraducteurAnne Plantagenet
Résumé
Lorsque le chagrin devient une force et la reconstruction un cri universel. A onze ans, Sara Jaramillo Klinkert perd son père, avocat colombien, assassiné par un tueur à gages. Rien ne sera plus comme avant. La petite fille privilégiée, élevée par des parents aimants, est soudain obligée de quitter l'enfance. L'autrice remonte le fleuve de ses souvenirs pour affronter ses traumatismes et ceux de ses frères.
Lui reviennent l'odeur capiteuse du manguier qui trônait dans le jardin, le crépitement des galettes de maïs de sa mère, la cabane aux longues branches construite par son père, transformant le chagrin en force, la reconstruction et la résilience en un cri universel.
Lui reviennent l'odeur capiteuse du manguier qui trônait dans le jardin, le crépitement des galettes de maïs de sa mère, la cabane aux longues branches construite par son père, transformant le chagrin en force, la reconstruction et la résilience en un cri universel.
Lorsque le chagrin devient une force et la reconstruction un cri universel. A onze ans, Sara Jaramillo Klinkert perd son père, avocat colombien, assassiné par un tueur à gages. Rien ne sera plus comme avant. La petite fille privilégiée, élevée par des parents aimants, est soudain obligée de quitter l'enfance. L'autrice remonte le fleuve de ses souvenirs pour affronter ses traumatismes et ceux de ses frères.
Lui reviennent l'odeur capiteuse du manguier qui trônait dans le jardin, le crépitement des galettes de maïs de sa mère, la cabane aux longues branches construite par son père, transformant le chagrin en force, la reconstruction et la résilience en un cri universel.
Lui reviennent l'odeur capiteuse du manguier qui trônait dans le jardin, le crépitement des galettes de maïs de sa mère, la cabane aux longues branches construite par son père, transformant le chagrin en force, la reconstruction et la résilience en un cri universel.