Comment ils nous ont volé le football. La mondialisation racontée par le football
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- Nombre de pages123
- PrésentationBroché
- Poids0.096 kg
- Dimensions11,0 cm × 17,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-36921-006-1
- EAN9782369210061
- Date de parution16/05/2014
- ÉditeurFakir Editions
Résumé
On tape dans le ballon depuis la cour de récréation. Entre les buts de handball, dessinés sur le mur du préau, on s'est esquintés les genoux pour sauver un pénalty. On a fait les tournois du lundi de Pentecôte, aussi, fallait évacuer les vaches de la pâture, d'abord, enlever les bouses et passer le rouleau sur les trous de taupe. Et le dimanche, qu'il pleuve, qu'il vente, on chausse encore nos crampons dans les vestiaires...
Que s'est-il passé, alors ? C'est le même jeu, un ballon, deux équipes, quatre poteaux, et voilà que ce sport du pauvre brasse des milliards, s'exporte comme un produit, devient la vitrine triomphante, clinquante du capital. Que s'est-il passé ? Rien, en fait. Juste que l'argent a envahi toute la société, lentement, depuis trente ans, et que le football en est le miroir grossissant. C'est une histoire économique que ce sport nous raconte, à sa manière, des années 60 à aujourd'hui, de la libéralisation des ondes à la mondialisation des marques jusqu'aux fonds de pension.
Le ballon, comme un monde en plus petit.
Que s'est-il passé, alors ? C'est le même jeu, un ballon, deux équipes, quatre poteaux, et voilà que ce sport du pauvre brasse des milliards, s'exporte comme un produit, devient la vitrine triomphante, clinquante du capital. Que s'est-il passé ? Rien, en fait. Juste que l'argent a envahi toute la société, lentement, depuis trente ans, et que le football en est le miroir grossissant. C'est une histoire économique que ce sport nous raconte, à sa manière, des années 60 à aujourd'hui, de la libéralisation des ondes à la mondialisation des marques jusqu'aux fonds de pension.
Le ballon, comme un monde en plus petit.
On tape dans le ballon depuis la cour de récréation. Entre les buts de handball, dessinés sur le mur du préau, on s'est esquintés les genoux pour sauver un pénalty. On a fait les tournois du lundi de Pentecôte, aussi, fallait évacuer les vaches de la pâture, d'abord, enlever les bouses et passer le rouleau sur les trous de taupe. Et le dimanche, qu'il pleuve, qu'il vente, on chausse encore nos crampons dans les vestiaires...
Que s'est-il passé, alors ? C'est le même jeu, un ballon, deux équipes, quatre poteaux, et voilà que ce sport du pauvre brasse des milliards, s'exporte comme un produit, devient la vitrine triomphante, clinquante du capital. Que s'est-il passé ? Rien, en fait. Juste que l'argent a envahi toute la société, lentement, depuis trente ans, et que le football en est le miroir grossissant. C'est une histoire économique que ce sport nous raconte, à sa manière, des années 60 à aujourd'hui, de la libéralisation des ondes à la mondialisation des marques jusqu'aux fonds de pension.
Le ballon, comme un monde en plus petit.
Que s'est-il passé, alors ? C'est le même jeu, un ballon, deux équipes, quatre poteaux, et voilà que ce sport du pauvre brasse des milliards, s'exporte comme un produit, devient la vitrine triomphante, clinquante du capital. Que s'est-il passé ? Rien, en fait. Juste que l'argent a envahi toute la société, lentement, depuis trente ans, et que le football en est le miroir grossissant. C'est une histoire économique que ce sport nous raconte, à sa manière, des années 60 à aujourd'hui, de la libéralisation des ondes à la mondialisation des marques jusqu'aux fonds de pension.
Le ballon, comme un monde en plus petit.