Comme Dieu à Biarritz

Par : Françoise Lacoste-Béon
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  • Nombre de pages95
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.13 kg
  • Dimensions13,8 cm × 21,0 cm × 0,8 cm
  • ISBN2-911803-04-3
  • EAN9782911803048
  • Date de parution05/11/1998
  • ÉditeurLe Bord de l'eau

Résumé

" La construction du mur de l'Atlantique devenait chaque jour plus réelle et plus systématique sur la côte basque. La puissante machine de l'Organisation Todt s'était mise en marche. Fritz Todt, son créateur, n'était pas un militaire. Ingénieur des Ponts et Chaussées, accidentellement décédé, il avait eu à son actif la construction des autoroutes allemandes et la ligne Siegfried. Les chantiers près de la côte se multipliaient. L'Organisation devait faire vite, encadrée par la 715e Division d'Infanterie récemment arrivée. Le béton coulait et prenait forme ". Arrive un jeune soldat allemand, Martin Voss... " Le Carlton, où serait logé Voss, appartenait sûrement à la vieille race des palaces de Biarritz. Le perron lui avait semblé royal et le hall monumental et confortable à la fois. Maintenant, il se trouvait dans ce qui allait donc être son logement. Et si la chambre et la salle de bain étaient somme toute agréables mais banales et sommairement meublées, il sourit de plaisir devant la pièce attenante à la chambre. D'instinct, il se plaça au milieu : elle était ronde, complètement ronde, de la corniche à la plinthe ". Peu à peu Martin Voss va " tomber amoureux " du passé de Biarritz, celui du temps des " années folles ".
" La construction du mur de l'Atlantique devenait chaque jour plus réelle et plus systématique sur la côte basque. La puissante machine de l'Organisation Todt s'était mise en marche. Fritz Todt, son créateur, n'était pas un militaire. Ingénieur des Ponts et Chaussées, accidentellement décédé, il avait eu à son actif la construction des autoroutes allemandes et la ligne Siegfried. Les chantiers près de la côte se multipliaient. L'Organisation devait faire vite, encadrée par la 715e Division d'Infanterie récemment arrivée. Le béton coulait et prenait forme ". Arrive un jeune soldat allemand, Martin Voss... " Le Carlton, où serait logé Voss, appartenait sûrement à la vieille race des palaces de Biarritz. Le perron lui avait semblé royal et le hall monumental et confortable à la fois. Maintenant, il se trouvait dans ce qui allait donc être son logement. Et si la chambre et la salle de bain étaient somme toute agréables mais banales et sommairement meublées, il sourit de plaisir devant la pièce attenante à la chambre. D'instinct, il se plaça au milieu : elle était ronde, complètement ronde, de la corniche à la plinthe ". Peu à peu Martin Voss va " tomber amoureux " du passé de Biarritz, celui du temps des " années folles ".