Farida Faryad est née à Kaboul en 1992, trois ans après le retrait des troupes soviétiques d'Afghanistan, en pleine guerre civile. Malgré la première prise du pouvoir par les talibans en 1996, elle parvient à faire ses études primaires puis secondaires. Alors que le pays se libéralise quelque peu, au temps de la présence des " forces alliées », elle obtient sa licence et son master en langue et littérature persanes, à l'université de Kaboul. Elle est aujourd'hui doctorante à l'Université de Guilan, en Iran, ses recherches portent sur la représentation des femmes hazâras dans une sélection de romans afghans. Elle a publié des articles sur la littérature persane et la linguistique dans des revues iraniennes ainsi que deux ouvrages en langue persane. Avant d'être contrainte à l'exil, elle a enseigné pendant plusieurs années dans des lycées et à l'université de Kaboul. Elle réside actuellement en France.
Collection de chagrins. Le défi poétique d'une femme afghane
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- Nombre de pages94
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.13 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,0 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-37553-215-7
- EAN9782375532157
- Date de parution04/10/2024
- ÉditeurPoutan (Editions du)
- PréfacierJean-Yves Loude
Résumé
"Que serait la poésie sans le chagrin ? Et tout d'abord, le chagrin d'Afghanistan, pays qui danse enlacé à la guerre depuis si longtemps ? " "Moi, je m'appelle Farida Faryad. Farida, "l'Unique", et Faryad, "le Cri". Jamais ma vie si mal engagée n'aurait dû favoriser mes noces avec la poésie." "Vous qui me lirez, restez en paix, je vous le souhaite. Apprenez seulement à vivre avec la rumeur de nos gémissements." En 2021, Farida Faryad, jeune femme de la communauté hazâra, quitte l'Afghanistan à bord d'un avion français et trouve une terre d'accueil à Villefranche-sur-Sâone, en Beaujolais.
Que lui reprochent les fondamentalistes religieux ? D'être femme, lettrée, d'avoir vaincu la misère pour parvenir à enseigner, d'avoir conquis le droit de penser et de s'exprimer... et d'avoir choisi de parler d'une très ancienne tradition partagée en secret par les Afghanes, notamment par les femmes hazâras : le "cri poétique" de souffrance et de résistance à la pression patriarcale. Ce récit très personnel de Farida Faryad, traduit du persan, a été adapté, sous forme poétique, par Jean-Yves Loude.
Que lui reprochent les fondamentalistes religieux ? D'être femme, lettrée, d'avoir vaincu la misère pour parvenir à enseigner, d'avoir conquis le droit de penser et de s'exprimer... et d'avoir choisi de parler d'une très ancienne tradition partagée en secret par les Afghanes, notamment par les femmes hazâras : le "cri poétique" de souffrance et de résistance à la pression patriarcale. Ce récit très personnel de Farida Faryad, traduit du persan, a été adapté, sous forme poétique, par Jean-Yves Loude.
"Que serait la poésie sans le chagrin ? Et tout d'abord, le chagrin d'Afghanistan, pays qui danse enlacé à la guerre depuis si longtemps ? " "Moi, je m'appelle Farida Faryad. Farida, "l'Unique", et Faryad, "le Cri". Jamais ma vie si mal engagée n'aurait dû favoriser mes noces avec la poésie." "Vous qui me lirez, restez en paix, je vous le souhaite. Apprenez seulement à vivre avec la rumeur de nos gémissements." En 2021, Farida Faryad, jeune femme de la communauté hazâra, quitte l'Afghanistan à bord d'un avion français et trouve une terre d'accueil à Villefranche-sur-Sâone, en Beaujolais.
Que lui reprochent les fondamentalistes religieux ? D'être femme, lettrée, d'avoir vaincu la misère pour parvenir à enseigner, d'avoir conquis le droit de penser et de s'exprimer... et d'avoir choisi de parler d'une très ancienne tradition partagée en secret par les Afghanes, notamment par les femmes hazâras : le "cri poétique" de souffrance et de résistance à la pression patriarcale. Ce récit très personnel de Farida Faryad, traduit du persan, a été adapté, sous forme poétique, par Jean-Yves Loude.
Que lui reprochent les fondamentalistes religieux ? D'être femme, lettrée, d'avoir vaincu la misère pour parvenir à enseigner, d'avoir conquis le droit de penser et de s'exprimer... et d'avoir choisi de parler d'une très ancienne tradition partagée en secret par les Afghanes, notamment par les femmes hazâras : le "cri poétique" de souffrance et de résistance à la pression patriarcale. Ce récit très personnel de Farida Faryad, traduit du persan, a été adapté, sous forme poétique, par Jean-Yves Loude.