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Avant de mourir le 15 novembre 1971, le colonel William Fischer du KG13 laisse ses mémoires à sa voisine. Sa petite-fille, jeune Russe de trente ans, tombe dessus cinquante ans plus tard. Elle en fait un roman ! Le voici ! Alors qu'ils se rencontrent pour la première fois dans le nid d'espions qu'est devenu Berlin en plein blocus en ce mois de juin 1948, Alexeï et John font déjà figure de vétérans au sein des services d'espionnages soviétiques et américains.
Ces deux jeunes hommes hors normes nous font vivre la lutte sans merci que l'Occident et l'Union soviétique se livrent par l'intermédiaire de leurs agents. Les maîtres-espions se tapissent dans l'ombre. Les plus implacables sont-ils ceux qu'on pense ? Quelles sont les taupes de chaque camp ?
Frères ennemis - Cold war : Jeu d'espions
Ce roman m'a attiré par son résumé. Il était plein de promesses.
Mark Zellweger devait nous faire vivre la lutte que se livrait l'occident et l'union soviétique en 1948. Nous y suivons deux personnages : Alexei et John, malgré leur amitié l'un travaille pour le service d'espionnage soviétique et l'autre pour le service américain. Chaque partie espionne l'autre, sans compter les agents doubles qui opèrent dans l'ombre. Qui sont-ils ? Certainement pas ceux à qui l'on pense.
Je m'attendais à une lecture de type “espionnage” haletante, prenante. J'avais sans doute trop d'attentes. Malgré une thématique intéressante, j'ai été déçue. Je n'ai pas été sensible au style littéraire, ce qui ne m'a pas aidé à me plonger dans l'intrigue. L'écriture pour m'a part mériterait d'être plus simple, et efficace.