Une fois n'est pas coutume, le nouveau roman d'Olivier Norek n'est pas un polar mais un roman historique dont le sujet est un événement peu connu de la Seconde Guerre Mondiale, l'invasion de la Finlande par l'Union soviétique.
Il s'intéresse notamment à un jeune paysan, Simo, qui va devenir le sniper le plus dangereux de l'armée finlandaise, à tel point que les soldats russes le surnommeront la « Mort blanche ».
Basé sur une solide documentation, Les guerriers de l'hiver est la nouvelle pépite de l'excellent Olivier Norek.
Quel plaisir auraient apporté les ravissantes illustrations de Marie Claude Monchaux à mon Hortense ! Cette bonne voisine de Condéon Charente (vous...
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Quel plaisir auraient apporté les ravissantes illustrations de Marie Claude Monchaux à mon Hortense ! Cette bonne voisine de Condéon Charente (vous qu'neussez bin ? Pas loin de l'arrêt d'Barneuil, in cot passé Barbezieux ?) qui devenait l'ange tutélaire de notre maison chaque fois que nous revenions séjourner dans la " beunasse " familiale. Elle qui avait tant aimé sa petite coiffe, ce joli " sabot d'Angoumois " qu'elle portait jeune fille lorsqu'elle s'habillait dans " ses Dimanches " pour quelque assemblée, foire ou frairie ! Puis jeune femme... Mais de moins en moins souvent, car les difficultés matérielles, les " drôles " ! Voué ! " qu'arrivant pu vite que les rentes " comme chacun sait, les bêtes, et mille soucis empêchaient le ménage de courir la Ganipote autant qu'il l'eût voulu ! Ensuite, après le départ de son " pauv' détint, bouneghens ", elle avait renoncé à toute parure. Elle avait enfermé ses cheveux frisés dans un sévère " mouchenez de tête " qui lui enserrait le crâne par tout un système précis de nœuds, ne laissant à l'abandon qu'une toute petite coque derrière l'oreille. Et voilà que vint dans nos campagnes la mode des chapeaux ! Elle n'eût que mépris pour eux et quolibets pour celles qui les portaient. " Toutes thiéllés chrétiennes qui sembyiant des babouins avec zeux foutus chapiâs su le calâ ! Trouvez vous point ? " Non, nous ne trouvions point. Alors, elle revenait à la charge dans son parler plein d'images savoureuses : " Sacrée chapiâs ' Ol é tout jhuste bon à faire couer les poules dedans. "