Cocteau, l’opium aux trousses. Correspondance inédite et illustrée avec le poète (1928-1929)
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- Nombre de pages266
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.493 kg
- Dimensions16,5 cm × 23,9 cm × 2,1 cm
- ISBN979-10-344-0149-9
- EAN9791034401499
- Date de parution12/04/2023
- CollectionConfigurations littéraires
- ÉditeurPU de Strasbourg
- PostfacierRodolphe Greciano
Résumé
Cocteau, l'opium aux trousses, document exceptionnel pour l'histoire littéraire du xxe siècle, contient la correspondance complète et inédite qu'entretint Jean Cocteau avec un jeune prince roumain, Georges Greciano (1906-1976). En 1928-1929, Jean Cocteau, que son addiction à l'opium conduit à un internement dans une clinique parisienne, répond à la demande d'un jeune prince roumain qui voudrait devenir écrivain.
Il lui adresse une série de dix-neuf lettres, parfois ornées de dessins. Une amitié épistolaire de plus d'une année s'ensuit, interrompue dans la douleur. D'abord diplomate et spécialiste d'Europe centrale, puis assistant parlementaire, Georges Greciano (1906-1976) dut attendre la mort de Cocteau pour, au cours de l'hiver 1964, s'ouvrir sur cet épisode qui avait marqué sa jeunesse : il en fit l'objet d'un récit enrichi des précieuses lettres échangées, qu'il intitula Cocteau, l'opium aux trousses.
Il s'éteignit cependant en 1976 sans avoir confié son document à un éditeur. Il fallut presque un demi-siècle, et les efforts de son fils Rodolphe, pour que cette correspondance soit enfin publiée. Augmenté de ces lettres inédites, le récit de Georges Greciano offre un document rare sur l'intimité du poète, et, plus largement, donne à voir tout un pan de l'histoire culturelle européenne au xxe siècle.
Il lui adresse une série de dix-neuf lettres, parfois ornées de dessins. Une amitié épistolaire de plus d'une année s'ensuit, interrompue dans la douleur. D'abord diplomate et spécialiste d'Europe centrale, puis assistant parlementaire, Georges Greciano (1906-1976) dut attendre la mort de Cocteau pour, au cours de l'hiver 1964, s'ouvrir sur cet épisode qui avait marqué sa jeunesse : il en fit l'objet d'un récit enrichi des précieuses lettres échangées, qu'il intitula Cocteau, l'opium aux trousses.
Il s'éteignit cependant en 1976 sans avoir confié son document à un éditeur. Il fallut presque un demi-siècle, et les efforts de son fils Rodolphe, pour que cette correspondance soit enfin publiée. Augmenté de ces lettres inédites, le récit de Georges Greciano offre un document rare sur l'intimité du poète, et, plus largement, donne à voir tout un pan de l'histoire culturelle européenne au xxe siècle.
Cocteau, l'opium aux trousses, document exceptionnel pour l'histoire littéraire du xxe siècle, contient la correspondance complète et inédite qu'entretint Jean Cocteau avec un jeune prince roumain, Georges Greciano (1906-1976). En 1928-1929, Jean Cocteau, que son addiction à l'opium conduit à un internement dans une clinique parisienne, répond à la demande d'un jeune prince roumain qui voudrait devenir écrivain.
Il lui adresse une série de dix-neuf lettres, parfois ornées de dessins. Une amitié épistolaire de plus d'une année s'ensuit, interrompue dans la douleur. D'abord diplomate et spécialiste d'Europe centrale, puis assistant parlementaire, Georges Greciano (1906-1976) dut attendre la mort de Cocteau pour, au cours de l'hiver 1964, s'ouvrir sur cet épisode qui avait marqué sa jeunesse : il en fit l'objet d'un récit enrichi des précieuses lettres échangées, qu'il intitula Cocteau, l'opium aux trousses.
Il s'éteignit cependant en 1976 sans avoir confié son document à un éditeur. Il fallut presque un demi-siècle, et les efforts de son fils Rodolphe, pour que cette correspondance soit enfin publiée. Augmenté de ces lettres inédites, le récit de Georges Greciano offre un document rare sur l'intimité du poète, et, plus largement, donne à voir tout un pan de l'histoire culturelle européenne au xxe siècle.
Il lui adresse une série de dix-neuf lettres, parfois ornées de dessins. Une amitié épistolaire de plus d'une année s'ensuit, interrompue dans la douleur. D'abord diplomate et spécialiste d'Europe centrale, puis assistant parlementaire, Georges Greciano (1906-1976) dut attendre la mort de Cocteau pour, au cours de l'hiver 1964, s'ouvrir sur cet épisode qui avait marqué sa jeunesse : il en fit l'objet d'un récit enrichi des précieuses lettres échangées, qu'il intitula Cocteau, l'opium aux trousses.
Il s'éteignit cependant en 1976 sans avoir confié son document à un éditeur. Il fallut presque un demi-siècle, et les efforts de son fils Rodolphe, pour que cette correspondance soit enfin publiée. Augmenté de ces lettres inédites, le récit de Georges Greciano offre un document rare sur l'intimité du poète, et, plus largement, donne à voir tout un pan de l'histoire culturelle européenne au xxe siècle.