Clochard des mers. Biographie d'un skipper passionné
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- Nombre de pages124
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.175 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-38430-014-3
- EAN9782384300143
- Date de parution21/03/2022
- CollectionBiographie
- ÉditeurDecoster
- InterviewerSilke Godier
Résumé
(...) En septembre 2002, j'ai embarqué à Saint-Malo pour ma première Route du Rhum. L'idée de cette course était de traverser l'Atlantique le plus rapidement possible pour arriver en Guadeloupe. La route droite passe par les Açores La route plus conventionnelle, pour la saison, prévoit une descente par les Canaries... et suivre une traversée, dans un vent portant, que l'on appelle les alizés. J'ai opté pour la première solution dès le départ, un coup de vent majeur circulait rapidement sur l'Atlantique et allait générer du vent, mais surtout de la mer En bon sens marin, il était préférable de rester au large plutôt que de se retrouver bloquer au cap Finistère, avec une mer démontée et un vent qui se renforce à l'approche du cap.
Beaucoup d'autres de mes concurrents voulaient avancer plus vite en empruntant la route la plus longue, prenant ainsi le risque de casser leur bateau. Ce qui s'est effectivement passé pour la majorité d'entre eux. (...)
Beaucoup d'autres de mes concurrents voulaient avancer plus vite en empruntant la route la plus longue, prenant ainsi le risque de casser leur bateau. Ce qui s'est effectivement passé pour la majorité d'entre eux. (...)
(...) En septembre 2002, j'ai embarqué à Saint-Malo pour ma première Route du Rhum. L'idée de cette course était de traverser l'Atlantique le plus rapidement possible pour arriver en Guadeloupe. La route droite passe par les Açores La route plus conventionnelle, pour la saison, prévoit une descente par les Canaries... et suivre une traversée, dans un vent portant, que l'on appelle les alizés. J'ai opté pour la première solution dès le départ, un coup de vent majeur circulait rapidement sur l'Atlantique et allait générer du vent, mais surtout de la mer En bon sens marin, il était préférable de rester au large plutôt que de se retrouver bloquer au cap Finistère, avec une mer démontée et un vent qui se renforce à l'approche du cap.
Beaucoup d'autres de mes concurrents voulaient avancer plus vite en empruntant la route la plus longue, prenant ainsi le risque de casser leur bateau. Ce qui s'est effectivement passé pour la majorité d'entre eux. (...)
Beaucoup d'autres de mes concurrents voulaient avancer plus vite en empruntant la route la plus longue, prenant ainsi le risque de casser leur bateau. Ce qui s'est effectivement passé pour la majorité d'entre eux. (...)