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Classées sans suite. Les femmes victimes de violences face à la justice
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- Nombre de pages240
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Dimensions11,0 cm × 17,0 cm × 0,0 cm
- ISBN978-2-228-93975-1
- EAN9782228939751
- Date de parution17/09/2025
- CollectionPetite Bibliothèque Payot
- ÉditeurPayot
Résumé
En France, l'écrasante majorité des violences faites aux femmes reste impunie et ignorée : ce scandale doit cesser. "Classée sans suite" : trois mots qui signifient qu'aucun procès ne se tiendra jamais. Aujourd'hui, seuls 1 % des viols aboutissent à une condamnation et 80 % des plaintes des femmes pour violences dans le cadre conjugal sont classées sans suite par manque d'investigations. Le système judiciaire se montre donc incapable de garantir aux femmes, non pas seulement un procès équitable, mais un procès tout court - leur refusant la reconnaissance de leur statut de victimes et épargnant aux hommes leur statut d'agresseurs.
Si la parole des femmes s'est indiscutablement libérée ces dernières années, les oreilles de la justice sont quant à elles encore sourdes à leurs plaintes.
Si la parole des femmes s'est indiscutablement libérée ces dernières années, les oreilles de la justice sont quant à elles encore sourdes à leurs plaintes.
En France, l'écrasante majorité des violences faites aux femmes reste impunie et ignorée : ce scandale doit cesser. "Classée sans suite" : trois mots qui signifient qu'aucun procès ne se tiendra jamais. Aujourd'hui, seuls 1 % des viols aboutissent à une condamnation et 80 % des plaintes des femmes pour violences dans le cadre conjugal sont classées sans suite par manque d'investigations. Le système judiciaire se montre donc incapable de garantir aux femmes, non pas seulement un procès équitable, mais un procès tout court - leur refusant la reconnaissance de leur statut de victimes et épargnant aux hommes leur statut d'agresseurs.
Si la parole des femmes s'est indiscutablement libérée ces dernières années, les oreilles de la justice sont quant à elles encore sourdes à leurs plaintes.
Si la parole des femmes s'est indiscutablement libérée ces dernières années, les oreilles de la justice sont quant à elles encore sourdes à leurs plaintes.