Civilisation des villas vénitiennes
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- Nombre de pages359
- PrésentationRelié
- Poids1.605 kg
- Dimensions22,6 cm × 25,9 cm × 2,8 cm
- ISBN2-84459-017-9
- EAN9782844590176
- Date de parution13/09/1999
- ÉditeurPlace des Victoires
Résumé
La " Civilisation des villas " c'est Venise côté jardin. Les palais marins, les canaux endormis et les ruelles peuplées de fantômes de la Cité des Doges cèdent la place à des manoirs conçus pour les travaux des champs et les joies du plein air, à une terre bien grasse où le vert domine : tous les signes d'un culte très païen de la santé et de la vie illustré par les peintres vénitiens Giorgione, Titien et Véronèse...
Michelangelo Muraro nous fait entrer dans les plus belles demeures de Vénétie. C'est en érudit mais aussi en promeneur et en amoureux qu'il nous invite à découvrir cette " civilisation des villas " qui, grâce
au génie de l'architecte Andrea Palladio, sut dès le Cinquecento concilier le labeur et les caprices. C'est là, sur la Terre Ferme, dans ces fermes patriciennes que les nobles de Venise se délassaient des bruits de la ville tout en gérant leurs affaires désormais tournées vers l'agriculture et l'élevage. C'est là, à l'ombre des boquets, que les plus grands artistes de l'époque furent chargés d'exaucer les songes baroques des princes, les Cornaro, les Barbaro, les Contarini
dont les noms mêmes sont des chapitres de l'histoire de Venise. C'est là que, deux cents ans plus tard, Goldoni plantera le décor de ses comédies. Qu'il s'agisse de l'histoire, de la politique, de la littérature ou de la peinture, Michelangelo Muraro ne
délaisse aucun des aspects qui ont concouru à faire de la ville l'emblème d'un art de vivre qui, par-delà les siècles, reste un vaillant synonyme du bonheur.
La " Civilisation des villas " c'est Venise côté jardin. Les palais marins, les canaux endormis et les ruelles peuplées de fantômes de la Cité des Doges cèdent la place à des manoirs conçus pour les travaux des champs et les joies du plein air, à une terre bien grasse où le vert domine : tous les signes d'un culte très païen de la santé et de la vie illustré par les peintres vénitiens Giorgione, Titien et Véronèse...
Michelangelo Muraro nous fait entrer dans les plus belles demeures de Vénétie. C'est en érudit mais aussi en promeneur et en amoureux qu'il nous invite à découvrir cette " civilisation des villas " qui, grâce
au génie de l'architecte Andrea Palladio, sut dès le Cinquecento concilier le labeur et les caprices. C'est là, sur la Terre Ferme, dans ces fermes patriciennes que les nobles de Venise se délassaient des bruits de la ville tout en gérant leurs affaires désormais tournées vers l'agriculture et l'élevage. C'est là, à l'ombre des boquets, que les plus grands artistes de l'époque furent chargés d'exaucer les songes baroques des princes, les Cornaro, les Barbaro, les Contarini
dont les noms mêmes sont des chapitres de l'histoire de Venise. C'est là que, deux cents ans plus tard, Goldoni plantera le décor de ses comédies. Qu'il s'agisse de l'histoire, de la politique, de la littérature ou de la peinture, Michelangelo Muraro ne
délaisse aucun des aspects qui ont concouru à faire de la ville l'emblème d'un art de vivre qui, par-delà les siècles, reste un vaillant synonyme du bonheur.