Citoyen du volcan. Epitaphe pour Jean Sénac
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- Nombre de pages192
- PrésentationBroché
- Poids0.001 kg
- Dimensions0,1 cm × 0,1 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-35104-062-1
- EAN9782351040621
- Date de parution01/06/2013
- ÉditeurAtelier de création libertaire
Résumé
Poète, socialiste, anarchiste, révolutionnaire, chrétien mécréant, homosexuel… Cessons la liste : Jean Sénac refusait les étiquettes. Né pied-noir et fils spirituel de Camus, Sénac prit pourtant fait et cause pour l’indépendance de l’Algérie. Mais une Algérie pour tous : Arabes, Berbères, Kabyles, Juifs, Européens. Destin de franc-tireur que celui qui fut le sien : le traître devint trouble-fête lorsqu’il décida, quoi qu’il lui en coûta, de maintenir son cap poétique et politique, bâtir sa "République des pauvres".
Il s’écroula en 1973 dans un taudis d’Alger, le crâne fracturé, le corps lardé de coups de couteau. "Vous verrez que je serai assassiné", avait-il prédit. Quarante années n’ont pas suffi à dissiper le brouillard qui entoure sa mort. Ironie du sort : celui qui a tant chanté le soleil demeure à l’ombre de nos Histoires. Il est temps de l’en sortir.
Il s’écroula en 1973 dans un taudis d’Alger, le crâne fracturé, le corps lardé de coups de couteau. "Vous verrez que je serai assassiné", avait-il prédit. Quarante années n’ont pas suffi à dissiper le brouillard qui entoure sa mort. Ironie du sort : celui qui a tant chanté le soleil demeure à l’ombre de nos Histoires. Il est temps de l’en sortir.
Poète, socialiste, anarchiste, révolutionnaire, chrétien mécréant, homosexuel… Cessons la liste : Jean Sénac refusait les étiquettes. Né pied-noir et fils spirituel de Camus, Sénac prit pourtant fait et cause pour l’indépendance de l’Algérie. Mais une Algérie pour tous : Arabes, Berbères, Kabyles, Juifs, Européens. Destin de franc-tireur que celui qui fut le sien : le traître devint trouble-fête lorsqu’il décida, quoi qu’il lui en coûta, de maintenir son cap poétique et politique, bâtir sa "République des pauvres".
Il s’écroula en 1973 dans un taudis d’Alger, le crâne fracturé, le corps lardé de coups de couteau. "Vous verrez que je serai assassiné", avait-il prédit. Quarante années n’ont pas suffi à dissiper le brouillard qui entoure sa mort. Ironie du sort : celui qui a tant chanté le soleil demeure à l’ombre de nos Histoires. Il est temps de l’en sortir.
Il s’écroula en 1973 dans un taudis d’Alger, le crâne fracturé, le corps lardé de coups de couteau. "Vous verrez que je serai assassiné", avait-il prédit. Quarante années n’ont pas suffi à dissiper le brouillard qui entoure sa mort. Ironie du sort : celui qui a tant chanté le soleil demeure à l’ombre de nos Histoires. Il est temps de l’en sortir.